LEEBOON !!!! (CONTES)

Rappel du premier message :

...

il est malin ce bb dé xanaa yaw la woon?

daa démone bay nék mane far néwoumako!

kel malin bb

béne guinaar la wone mouni day baali gouddi far gnou rééréko.

Leeboon !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

khana da nga guiss sama avis de recherche bi?

leeeeeeeeeeeeeeppppppoooooooooooooone

on dit lepone ou lipone? sorry, suis toucouleur, sama wolof setoul

khana ap gayéne la

safourlahhh!!!

rée ba culbitass!

L'habille ne fait pas le moine

mandofbi, commencé watal les elections stp

(Je voudrais me connection comme Man Nit Ki, mais je ne me souviens plus du mot de passe.) hahahahaha. C'est l'inconvénient quand on a un clone.

election wou lane??

Man Dofbi a écrit:(Je voudrais me connection comme Man Nit Ki, mais je ne me souviens plus du mot de passe.) hahahahaha. C'est l'inconvénient quand on a un clone.

Rebienvenue mon grand... Mais je crois que les petits gosses t'ont carrément gaché ton coin... senediaspora c'est trop délirant et juvénile maintenant... c'est dommage, les sages sont obligés de se cacher maintenant.. ! Heureux de te retrouver.... Passe de temps en temps, ça fait toujours plaisir !

petits gosses yi hana!!! (ya ay soma si boolé!!!!)

fashionclean a écrit:election wou lane??

Comment et combien tu peux être contradictoire

Liirël sa boppu book ndax mu tané [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

han okiiiii!!! wa thia nitt la nak!!!

Mane Gosse, je vais quitter senediaspora pour faire de l'air alors

boul kitté way!!

LA FORET DE KAGNE



Kâgne était un colosse qui vivait dans cette forêt dont il s’autoproclamait propriétaire. Tout le monde le redoutait. Il était si fort qu’il pouvait, tenant l’avant-bras d’un homme avec une seule main, le serrer jusqu’à lui briser le radius et le cubitus. A l’époque, on voyageait à pied, à cheval ou à dos d’âne. Quiconque passait par-là, risquait d’y trouver la mort. Kâgne l’arrêtait et lui disait : « Ne sais-tu pas que c’est ici la forêt de Kâgne ? » Il fallait alors bien négocier pour s’en sortir vivant. Depuis, cette forêt portait le nom de ce géant dont certains disent qu’il était fou.

Après Kâgne, raconte-t-on, ce fut un djinn qui occupa ce lieu qu’il inspectait chaque nuit. Les Blancs, arrivés au pays, entreprirent d’y faire passer leur chemin de fer, et constatèrent des faits dignes d’étonnement. Ils travaillaient le jour, du moins ils faisaient travailler nos grands-parents. La nuit, le djinn sortait parcourir son territoire. A chaque fois qu’il y trouvait des rails, il les fracassait en petits morceaux, obligeant les Blancs à recommencer les travaux le lendemain. Pendant, on ne sait combien de temps, les Blancs réfléchirent sur le problème. Ils finirent par trouver une solution. Ils sont très futés, ces demi-djinns. (Au village, on disait que les Blancs sont des demi-djinns. Ils peuvent voir les djinns sans mourir ni tomber gravement malades.) Un jour, dès qu’ils finirent de travailler, ils placèrent un grand miroir près des rails. La nuit tombée, le djinn arriva et se vit dans la glace. Il fut fasciné. Il ne pouvait plus regarder ailleurs ni quitter le miroir. Il se mit à danser, à faire des grimaces, jusqu’à ce que les Blancs vinrent le capturer et l’emmener on ne sait où.

seb bayil sop, tu sais très bien k tu peux pas

(C’est un mélange d’anglais et de néerlandais. Comprendra qui pourra. Je traduirai quand j’en aurai le temps)



BEUT BADJAAN

Once upon a time, there was in Africa, a very powerful king named Beut Badjaan. His kingdom went from East to west and from North to south. Beut Badjaan was a tyran and everybody was afraid of him. He wanted to be the greatest on earth. He was killing any other king who dared to stand in front of him. He conquered all Afrika. He was then the big, big king.

One day he called all his people and said : “Is there anywhere, another king than me ?”

No one dared answering then an old man raised his hand and said : “God says that He is the king of the kings.”

Beut Badjaan, furious, looked at the old man and said : “Where is that God you’re talking about?”

“In the sky”replied the old man.

“Give me my gun”, said Beut Badjaan, “I’m gonna shoot that God dead”

They gave him his gun. He aimed at the sky and shot a few bullets. Pan! Pan! Pan!

God made a rain of blood fall on earth.

“You see” said Beut Badiane to his people, “I, ve just have killed God”.

They sang songs to the glory of Beut Badjaan and they made a big party.

A few days later, God made a rain of dëtt (pus). “You see”, said Beur Badjaan to his people, “God is being rotten!”

A few days later, God made a rain of bones fall on earth. Beut Badjaan celebrated his victory one more time. “Now”, he said, God is definitely dead. “So I’m the master of the universe. The greatest, the only one.

He became than more tyrannical than ever before. ……

But when God wanted to make an end to it, He didn’t send and army. He just sent a mosquito. That kleine piep mug put down Beut Badjaan, the tyrannical, arrogant king.

The mug came to earth and went trough the nose ef the king. He went straight to to the brain. There he stayed and started making noses. “Shuuuu… bruuuuuu!”

The poor king could no more sleeping, eating, walking, talking, etc. Geen rust meer. His head was to much for him. At the end, he said to his people : “Cut my head and make a golden head to replace it .”

They cut his head and they put a golden one instead. Still he died. And the mug was still singing in his golden head.

That’s why, when you wear a golden cask and someone knock on it you hear the mug singing.

Non c'est impossible en revanche je sors du sujet pour pas le polluer, on se voit ailleurs

dacorrr

Thiamaasse a écrit:

Man Dofbi a écrit:(Je voudrais me connection comme Man Nit Ki, mais je ne me souviens plus du mot de passe.) hahahahaha. C'est l'inconvénient quand on a un clone.

Rebienvenue mon grand... Mais je crois que les petits gosses t'ont carrément gaché ton coin... senediaspora c'est trop délirant et juvénile maintenant... c'est dommage, les sages sont obligés de se cacher maintenant.. ! Heureux de te retrouver.... Passe de temps en temps, ça fait toujours plaisir !

En tant que sage tonsss qui ne se cache pas je peux lui allègrer un tant soit peu son coin.

J'adoooooore (prononcer à la Gad el Maleh accent clichy) ces leeboon de Man Nit Kit. Merci

vous devriez bien vous entendre

nous les gosses, on ne fait k polluer

vous pouvez cotiser à 2 et acheter une cravache pour les pollueurs

Man Dofbi a écrit:Un cheikh (Pas Bethio) , habillé de haillons, arriva dans un village. Personne ne le prit au sérieux. L'année suivante, il retourna au même village, habillé comme un roi. On lui fit un accueil chaleureux et un grand festin fut organisé en son honneur. On le fit entrer dans la plus belle maison où un copieux déjeuner lui fut servi. Au lieu de manger, il prenait la nourriture et la mettait dans ses poches. On lui demanda pourquoi il faisait cela, il répondit : « Ce sont mes vêtements que vous honorez, donc c'est à eux que revient ce repas. »

Précision de taille...; un certain Bathie Ngouye THIAM avait dit quelques vérités sur lui dé waaye, on lui fait un wanted

Man Dofbi a écrit:Leeboon !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Way ki dou sama mbokou dof??
Grd namone nala dé.. mane wére na legui

Thiamaasse a écrit:

Man Dofbi a écrit:Un cheikh (Pas Bethio) , habillé de haillons, arriva dans un village. Personne ne le prit au sérieux. L'année suivante, il retourna au même village, habillé comme un roi. On lui fit un accueil chaleureux et un grand festin fut organisé en son honneur. On le fit entrer dans la plus belle maison où un copieux déjeuner lui fut servi. Au lieu de manger, il prenait la nourriture et la mettait dans ses poches. On lui demanda pourquoi il faisait cela, il répondit : « Ce sont mes vêtements que vous honorez, donc c'est à eux que revient ce repas. »

Précision de taille...; un certain Bathie Ngouye THIAM avait dit quelques vérités sur lui dé waaye, on lui fait un wanted

Dara nak weuh

MA NA, MA NA

Un jour Lëk et Buki décident d’aller à la chasse.

En route, Buki dit à Lëk

- Looy rëbb, yow ?

- Tout ce que je peux trouver, dit Lëk. Et toi ?

- Moi, je veux juste un Mana Mana.

- C’est quoi un Mana Mana ?

- Tu le sauras quand j’en aurai capturé un.

Ils entrent dans la forêt. Lëk court par-ci, par-là avec son arc et ses flèches, pendant que Buki, armé d’un gourdin, attend patiemment devant un buisson. Brusquement Lëk , bëtt ñag bi, et Buki lui assène un coup de gourdin au crâne.

- Nijaay Buki, crie Lëk, ma na ! Ma na ! (C’est moi ! C’est moi !) (On dit plus souvent "man la". Les deux sont valables.)

- Justement, lui répond Buki. Mana Mana laa doon rëbb.

khaf a écrit:

Man Dofbi a écrit:Leeboon !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Way ki dou sama mbokou dof??
Grd namone nala dé.. mane wére na legui

Tay nga gënë doppooral

Man Dofbi a écrit:MA NA, MA NA

Un jour Lëk et Buki décident d’aller à la chasse.

En route, Buki dit à Lëk

- Looy rëbb, yow ?

- Tout ce que je peux trouver, dit Lëk. Et toi ?

- Moi, je veux juste un Mana Mana.

- C’est quoi un Mana Mana ?

- Tu le sauras quand j’en aurai capturé un.

Ils entrent dans la forêt. Lëk court par-ci, par-là avec son arc et ses flèches, pendant que Buki, armé d’un gourdin, attend patiemment devant un buisson. Brusquement Lëk , bëtt ñag bi, et Buki lui assène un coup de gourdin au crâne.

- Nijaay Buki, crie Lëk, ma na ! Ma na ! (C’est moi ! C’est moi !) (On dit plus souvent "man la". Les deux sont valables.)

- Justement, lui répond Buki. Mana Mana laa doon rëbb.

Bukki c'est le nullard mais quand il capte une vanne intelligente il s'y met à fond et c'est le pire escroc sur Terre

Oui, en général, c'est Lëk qui joue des tours à Buki, mais il arrive que ce soit l'inverse.

Khaf, yow moom, boo ma tanee, bariwul. Dof du wér, da fay tane rekk. hahahaha.

Les pollueurs et pollueuses ne perdent rien pour attendre. Man Nit Ki viendra bientôt règler leurs comptes.

J'ai trouvé ce conte de Bukki et Lëk ici:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Il y en a d'autres


Lëk sur le dos de Bukki

Une fois, Bukki-l’hyène et Lëk-le-lièvre voulaient tous les deux la main de la belle fille du roi. Bukki arriva le premier au palais, et le roi lui donna sa fille sans hésitation. Lëk à son tour demanda la main de la princesse. Et le roi lui répondit :
« Tu es arrivé trop tard, car je l’ai déjà donnée en mariage à l’hyène. »
Lëk, tout malin, lui demanda :
« Mais, savez-vous que votre nouveau beau-fils n’est rien qu’un cheval ?
¾Ah non ! Un cheval ? Si tu dis la vérité, je récupérerai ma fille. »
Alors Lëk retourna chez lui et se coucha. Il dit à sa famille :
« Si quelqu’un me demande, dites-lui que je suis malade. »
Bukki alla au palais pour prendre sa nouvelle femme. Le roi lui dit :
« Ton rival Lëk m’a dit que tu es un cheval. »
Bukki se mit en colère, en disant :
« Quelle méchante bête, ce lièvre ! Je vais l’amener ici. S’il ment, vous le punissez. »
Arrivé chez Lëk, Bukki le trouva couché dans son lit.
« Lëk ! c’est toi qui as dit au roi que je suis un cheval ! Tu es vraiment méchant. Allons chez le roi, et tu vas répéter cela devant moi.
¾Bukki ne me dérange pas ! Je suis malade et mourant. Je ne peux même pas marcher.
¾Ah non ! cela ne va pas t’empêcher de m’accompagner au palais. Viens, je vais te porter sur mon dos. »
Alors l’hyène se mit à quatre pattes et Lëk grimpa sur son dos poilu. Arrivés au palais, ils trouvèrent le roi assis sur son trône.
« Voilà celui qui vous a menti » cria Bukki.
« C’est à vous de juger maintenant. »
Le roi lui répondit :
« Bukki, je vois de mes propres yeux que tu es bel et bien un cheval, et je ne peux guère donner ma fille à un cheval. Quant à ton cavalier, c’est lui qui m’a dit la vérité. C’est donc à Lëk que je vais offrir ma fille en mariage. »
Alors l’hyène s’est mise à pleurer et rentra chez lui.

"Weddi gis bokku ca."
Traduction:"Je mens et ne peux te le cacher ."


Mais franchement je préfère les contes de Man Nit Ki.

Sur ce conte "Lëk sur le dos de Bujji", à la moitié du conte tu as déjà le dénuement, tu connais déjà la fin. Bon c'est vrai que c'est destiné à "moraliser" les enfants et donc il faut leur faciliter la tâche. Mais même, la personne d'un enfant il faut la traiter comme la personne d'un adulte. Un enfant peut aussi assimiler, à sa façon des choses difficiles.

J'aime bien les contes de Man Nit Ki à cause justement du dénuement à la fin du conte.
C'est mieux quand l'auteur te tienne le souffle jusqu'à la dernière phrase qui t'éclaire la voie de la compréhension. A la fin. C'est comme dans le théâtre espagnol du Siècle d'Or, le plus tard tu donne le "desenlace" (denuement) dans la pièce, le mieux réussie et le plus artistique elle sera.

Merci MNK.

Merci Zalzal.
Je ne connaissais pas ce conte. Et Dieu sait que j'en connais beaucoup.
Je repasserai plus tard vous poster le conte de Mor Niébé.

(J'ai retrouvé mon mot de passe. Il est tellement simple et proche que je ne le voyais pas. hahaha.)

allez on veut enkore plus de contes.svpppppppppp
ZZ ta

Mor Niébé



C’était un jeune homme nommé Mor Babel Sarr, cousin de Modou Sarr que vous connaissez.

Mor raffolait de niébé. Il pouvait en manger des kilos par jour. Mais comme vous le savez, le niébé agit sur le système digestif et provoque des gaz. Partout où Mor passait, on entendait la mitraillette : Tata rata tatata !

Un jour, Mor ne day takki jabar. Il avait repéré la belle Neman du village voisin. Sa mère lui dit : « Rikk waay, Mor, bul ma rusloo. Boo demee, bul fa lékk ñebbe. » Mor ne ko : « Moo yaay, xanaa da maa dof. Di takki jabar, di fa ngelawal. Mukk ! »

Mor se rendit chez Nemam. On lui donna la main de la fille. Ce fut la fête. Tout se passa bien jusqu’au soir. Les njëkke avaient préparé du bon niébé. Mor ne voulait pas en manger, mais… Ndeysaan, son caractère de saareen prit le dessus. Il se dit : « Je peux quand même en goûter un… Hum ! Que c’est bon ! Un deuxième, waay ! … hum ! Pourquoi pas un troisième ?... » Ainsi, il vida le bol s’en rendre compte.

La nuit, on laissa les mariés dans leur chambre.

Juste au moment d’aller au lit, Mor fit éclater le tonnerre. Tuuuuuuuuuuuuuttttttttttttttt !!!!!!!!!!!!

Mais dans ce village, ils avaient une maladie bien étrange. Ils ne pouvaient pas garder un secret. Quand quelqu’un savait quelque chose, il devait en parler à quelqu’un d’autre sinon son ventre se gonflait et faisait terriblement mal.

Le ventre de Nemam commença à se gonfler. La douleur était atroce. Elle dit à Mor : « Ma dem ci wanag wi te ñew. » Elle courut taper à la porte de sa maman : « Yaay, j’ai quelque chose à te dire. Mor a ngelawal tout à l’heure. » La mère la rabroua : « C’est ta nuit de noces et tu n’as rien d’autre à me dire ? Foumalkan, waay ! » Nemam, soulagée, alla rejoindre son mari.

La maman commença à sentir son ventre se gonfler. Elle réveilla le papa et dit : « Bilaay, xale yi daal, ñoo doy waar rekk. Man de, Nemam m’a dit que Mor a ngelawal tout à l’heure. » Le père se mit en colère. « Ah ! Ces femmes, grogna-t-il, que des histoires futiles ! Laisse-moi dormir, waay ! » Mais au bout d’un moment, son ventre commença à se gonfler. N’en pouvant plus, il mit son boubou et ses babouches et alla réveiller le roi pour lui raconter l’histoire. Buur daa di mer, ne ko : « Yow daal yaa ñákk fayda. Ngelawal rekk. Kan moo dul ngelawal ? Man sax da may ngelawal … » Buur, ne pouvant plus se rendormir à cause des maux de ventre fit appeler Gewel Mbaay.

A milieu de la nuit, la mère de Mor entendit le tamtam et la voix du griot venant du village voisin : « Rëng rëng ! Déglu léen jaam la ! Saasumaan bu tudd Moor Baabel Saar, dikkoon fii di takk si soxna, moo rëcle ne kuuuuk !.... »



(Hahahaha)



Quelques années plus tard, Mor épousa une autre fille, Fatim. Il résolut de ne plus jamais manger de niébé. Un soir, Fatim, prépara du niébé et le supplia : « Seeri koko, je t’en prie, lékk ci tuuti. Je l’ai préparé spécialement pour toi. Xanaa nobu loo ma ? Quoi qu’il arrive, je ne le dirai à personne. Il n’y a que nous deux dans cette chambre…. Et patati, patata. » Mor ne ko :

- Fatim, y a-t-il une personne à qui tu ne caches aucun secret ?

- Waawaaw ! répondit-elle. Mon amie Tyf. Mooy sama xariitu benn bakkan. Pas de secret entre nous.

- Va l’appeler, dit Mor.

Tyf arriva, Mor lui posa la même question :

- Tyf, y a-t-il une personne à qui tu ne caches aucun secret ?

- Waawaaw ! répondit-elle. Mon chéri Khaf. Lu ma xam, wax ko ko. Lu mu xam, wax ma.

- Va l’appeler, dit Mor.

Khaf arriva. Mor lui posa la même question :

- Khaf, y a-t-il une personne à qui tu ne caches aucun secret ?

- Waawaaw ! répondit-il. Mon cher x-tasy. Ñoo bokk mbub mu gudd. Il y a aussi Lyncx…

- Va les appeler.

Et ainsi de suite.

A la fin, tout le village était présent. Mor dit à sa femme :

- Chérie, voilà pourquoi je ne vais pas manger ton plat de niébé.

haahahahahahahahahahaha mor dofoul di.wakhna deug.loooooooooooooool

Chii Man Nit Ki tu ne peux pas savoir comme je suis contente de te lire toi et ton mari namonaléne waye comme d'hab rek tes contes font l'unanimité en matière de sagesse merci et on espère te lire encore. Ce qui me plait nak si deuxième conte bi tu y as les garçons comme quoi eux aussi ils savent raconter lol alors que le conte original la faute était imputée rien qu'aux filles.

J'adore

arrete de rigoler...propose des contes toi aussi.ishhhh

dééét mane damay ré, ma ngui professionnel du rire

olof yangui gneuw dal....looool. donc rigole ma cher

ihhhi excuse moi.mon cher.ay ma eupeul!!! sorry

ohh je savais pas ke mandofbi etait de passage ohhh i am naming him so muchh