[NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par **Lyncx** 2010-10-07, 04:05

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Message n°1

[NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Lyncx 2010-10-07, 04:05

Juste parce que je n'en ai pas encore trouvé le titre, je vous en sers une ébauche.

La suite vous sera servie début Novembre (désolé, mais boulot oblige...)

par **Abscisse BABISTO** 2010-10-07, 04:06

Abscisse BABISTO

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Message n°2

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Abscisse BABISTO 2010-10-07, 04:06

Connard, il est où déjà le début? Ou t'es dans les opérations "copy/paste"? Teudd ci souf

!

par **Lyncx** 2010-10-07, 04:08

Lyncx

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Message n°3

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Lyncx 2010-10-07, 04:08

Le mois d'avril, dans la ville de Bagneux. Chaud et encore frileux, comme une jeune mariée qui refuse de sortir de ses draps. Avril sonnait à Bagneux comme une cloche maligne, dont le tintement printanier faisait sortir les familles dans la rue, mais qui les enveloppait encore de la fraicheur de l'hiver. On lui pardonnait bien ces petites espiègleries, ce mois était après tout l'amorce d'un été qui augurait de belles promenades dans les allées qu'on apprêtait déjà, de légers déjeuners sur l'herbe et des moments qui devaient rassembler opportunément les familles. On concédait volontiers à ce mois son statut annonciateur, et on l'aimait avec indulgence, comme on aime les enfants turbulents dont chaque distraction présageait la personnalité future.

Il y avait cependant à Bagneux un homme qui n'aimait pas avril. Non pas qu'il le détestât, mais il ne le chérissait pas plus que les autres mois. Il ne voyait pas pourquoi tant d'égards étaient données à ce mois et à cette saison, alors que les autres mois méritaient tout autant le même statut. Quoi? Après tout, avril n'amenait que le pollen, indispensable au fleurissement des jardins et à l'épanouissement de la faune urbaine. Mais pour comparer équitablement, il aurait fallu mettre dans la balance janvier et ses résolutions, juillet et octobre pour leurs révolutions, décembre pour ses embonpoints, août et septembre pour leurs moissons, février pour ses glaces prometteuses de beaux torrents printaniers, mais aussi novembre pour son climat morne, qui se prêtait avec tellement de bonne grâce aux mélancolies créatrices, aux larmes et aux errances. En vérité, pour que l'adoration d'avril se justifiât, il fallait d'abord le considérer à l'aulne de ses pairs. Dès lors, il apparaissait clairement qu'avril ne surpassait ses semblables d'aucune manière.

Cet homme qui n'aimait pas avril, et particulièrement avril à Bagneux, se prénommait Modibo. Bibliothécaire en son état, dans la petite bibliothèque de quartier aménagée sous sa propre direction, Modibo était assez connu dans le quartier, surtout des personnes agées qu'il aidait, les jours où il était de bonne humeur, à trouver une place qui ne soit pas occupée par un de ces adolescents qui polluaient habituellement le silence les salles de lecture. Bien que ses attributions étaient assez réduites, Modibo les étendait au-delà même des murs de la bibliothèque, jusqu'à la rue, jusqu'au rond-point -- et il les aurait étendues au-delà, s'il avait considéré que l'intégrité de sa bibliothèque en dépendait. C'est qu'il tenait à sa bibliothèque, Modibo. Dans sa tâche de protecteur de ce dernier bastion de la culture balnéolaise, il n'épargnait ni enfants, ni vieillards, si jamais ces derniers s'aventuraient à violer les préceptes de bonne conduite qu'il avait lui-même promulgués. Ainsi, il n'hésitait pas à sévèrement rabrouer un handicapé, un nourrisson ou une femme enceinte, en public ou en privé, et même à leur refuser l'entrée si ces derniers disconvenaient aux règles dont la légitimité était largement sujet à controverse. Il considérait cet espace comme son empire, dont il fallait absolument protéger les remparts contre cette masse inculte venue du dehors. Il avait remarqué que cette masse affluait plus fortement aux mois d'avril, comme si, cloîtrée pendant le long hiver, elle n'avait pas trouvé d'autre exutoire que sa bibliothèque. C'était en partie une des raisons pour lesquelles Modibo n'aimait pas trop avril, et il ne se privait pas à l'exprimer devant ses ouailles indésirables. Un des regards réprobateurs dont il avait le secret suffisait à dérouter les lecteurs les plus téméraires, quand leur visage ne lui était pas familier. Bien sûr, son attitude lui valait bien des inimitiés, mais elle avait le mérite de garder dans sa voute -- ainsi qu'il aimait à appeler la bibliothèque -- un calme propice à ses lectures.

Car Modibo lisait beaucoup; et s'il ne pouvait se vanter d'avoir une connaissance profonde de tous les ouvrages qui peuplaient sa voute, il connaissait au moins les livres des auteurs les plus lus, et se payait même le luxe d'avoir dans son catalogue cérébral l'entièreté des oeuvres de certains auteurs. Il n'en faisait pas montre, certes, mais il avait toujours ce petit sourire satisfait lorsqu'on venait solliciter son expertise pour une oeuvre qu'il maitrisait déjà. Un sourire qui avait l'air de dire toute la condescendance de l'être supérieur, mais aussi la chaleur de l'accueil qu'il réservait aux hommes qui venaient de faire une découverte dont il avait la science depuis la nuit des temps. Il partait alors dans des discussions discrètes, caractéristiques voulus de la culture de l'homme, avec le profane qui venait d'entrer dans le cercle des lecteurs-de-telle-oeuvre-ou-de-tel-auteur. Et alors, quand l'individu revenait, il ne l'appelait plus que pas le nom très générique du lecteur-de-tel-auteur, signalant par là une fraternité qui les unirait à jamais. Le lecteur souriait, et Modibo avait le sentiment d'avoir enrolé un nouveau soldat dans son armée défenderesse de la cité de la culture.

Modibo n'était pas marié -- il n'en voyait pas encore l'utilité -- et vivait à quelques décamètres de sa forteresse. Histoire de garder constamment un oeil sur ses murs en cas de profanation ou d'abordage nocturne, il avait loué un appartement au quatrième étage de l'immeuble des Chalets; il avait ainsi, depuis son balcon et la fenêtre de sa chambre, une vue imprenable sur les vitres arrière, le rez-de-jardin, le préau de l'entrée principale et le toit de la bibliothèque. S'il ne poussait pas la précaution jusqu'à veiller des nuits entières sur ses murs, il lui arrivait néanmoins, les semaines agitées, de ne fermer l'oeil que deux à trois heures entre le coucher et le lever du jour. Ces tours de garde étaient décidés quand, de temps à autre, des bandes vandales troublaient la paix du quartier, que des caillassages étaient signalés et qu'il fallait redoubler de vigilance pour protéger sa voiture: il plaçait alors sa chaise longue devant la fenêtre -- ou sur la petite estrade de son balcon, les nuits d'été -- se choisissait un livre qu'il feignait de lire en sirotant de mollement un grand verre de lait, et somnolait en regardant la rue de temps à autre, vérifiant qu'elle n'était pas troublée par quelque voyou insomniaque. Il n'avait cependant jamais eu à craindre pour sa bibliothèque, à croire que son temple intimidait les profanes incultes et geignards, comme il se plaisait à appeler les jeunes qu'il croisait au pied de son immeuble. Il n'était pas sûr de la nature des sentiments qu'il leur suscitait, mais il avait la certitude qu'ils le craignaient, ou du moins l'évitaient autant que possible. Le vieux Modibo avait une réputation bien assise dans le quartier, et il n'était pas rare qu'entre deux marchandages au marché du dimanche, son prénom apparût dans une conversation, au milieu de qualificatifs aussi variés que fou, excentrique, somnambule, sorcier ou même exorciste. Le concerné ne s'en formalisait pas outre-mesure, et lorsqu'une gamine ou une vieille indiscrète lui rapportait les rumeurs qui avaient cours sur sa personne, il les congédiait d'un geste de la main, agrémenté d'un "Laisse!" qui résumait toute l'indifférence avec laquelle il accueillait ces ragots. Les gens l'indifféraient, pour autant qu'ils gardassent leurs distances de son royaume. Les seules personnes qui comptaient pour lui étaient les fidèles qui, hebdomadairement, venaient déposer sur l'autel de son temple du savoir quelques minutes, quelques silences qui valaient bien toute la reconnaissance du monde.

Les seuls jours où Modibo ne recevait pas la visite de ses coreligionnaires étaient les lundis, jour de fermeture obligatoire. Il ne se retenait pas de pester, chaque fois que l'occasion lui était donnée, contre les stupides décisions administratives qui le forçaient à un congé hebdomadaire. Il n'était même plus possible de travailler autant qu'on voulait, dans ce foutu pays! De son temps, toute heure de travail supplémentaire était une aubaine, et il ne se privait jamais de rester plus tard au travail. Fraîchement débarqué juste après la guerre, Modibo avait commencé par être garçon d'écurie dans les hippodromes parisiens. Ayant été recommandé par un ami avec qui il avait partagé la chambre dans le bateau qui les amenait au port de Marseille, il avait alors fait ses premiers pas dans le monde hippique, fasciné depuis son enfance par les chevaux. Peu récalcitrant à la besogne, enclin à aider ses collègues les nombreuses fois qu'il leur prenait de ne pas assurer leur service, il n'hésitait pas à prendre sur son dos des réprimandes qui auraient du s'adresser à ses collègues. Cependant, cette bonne grâce ne bénéficiait qu'aux rares personnes qu'il considérait comme ses amis, et la restriction de ce cercle lui avait valu de nombreuses rejets, qui d'ailleurs, l'indifféraient grandement. Il était ferme, mais indifférent aux préoccupations classiques dont l'homme moyen fait habituellement grand cas. Et justement, il considérait que le fait d'empêcher un honnête fonctionnaire de travailler -- qu'il soit fonctionnaire ou boulanger, cela importait peu -- alors qu'il avait travaillé dur pour décrocher ce poste, l'obliger à prendre un congé dont il ne voulait pas, toutes ces petites loi aberrantes qui lui pourrissaient le travail étaient un cas dont il fallait débattre le plus sérieusement du monde. Ce n'étaient pas quelques députés gâteux, lassement engoncés dans leur hémicycle, qui allaient lui dire ce qui était mieux pour lui, que diable! Etaient-ils témoins, lorsqu'il s'endormait tous les soirs dans le métro en allant à ses cours du soir? Étaient-ils témoins de l'extraordinaire charge de travail qu'il a dû abattre pour passer le concours de bibliothécaire, alors qu'il n'avait que le certificat d'études à son actif? L'avaient-ils soutenu, quand il lui a fallu affronter les regards des gens, lorsque, derrière son pupitre, il lui a fallu s'intégrer dans son nouveau travail? S'intégrer, il n'avait d'ailleurs jamais pu le faire, préférant envoyer les importuns au diable plutôt que de tenter une démarche conciliante. Son caractère bourru ne gênait pas ses amis, mais rebutait toute personne qui tentait de dépasser les limites que Modibo s'efforçait d'imposer.

Il maugréait ainsi pendant toute la journée, forcé à une oisiveté qu'il n'avait pas choisie, et passait la journée à traîner dans le quartier en s'aménageant des trajets qui passaient plusieurs fois devant la bibliothèque. Il pouvait ainsi, en faisant ses courses pour la semaine, surveiller les allées et venues autour de sa voute. Il pouvait passer, dans la même journée, plus d'une dizaine de fois devant le petit portique vitré qui protégeait la forteresse. A chacun de ses passages, il scrutait alentour, comme pour débusquer un malin qui n'attendait que le moment où il s'en irait pour commettre son forfait. Il remettait de l'ordre dans le bosquet planté devant les marches du seuil, chassait deux ou trois pigeons qui s'approchaient d'un peu trop près des murs, puis, presque à regret, s'éloignait vers le point de départ d'une nouvelle ronde.

Ainsi passait-il ses journées oisives, si rien d'anormal ne se produisait. Modibo ne s'ennuyait jamais de ce train de vie, il n'était pas homme à laisser aller son esprit à d'ennuyeuses occupations. Il pouvait très bien passer toute une journée derrière son pupitre, les yeux plongés dans un essai philosophique, sans ressentir cette lassitude qui prend tout esprit adonné à un seul type d'exercice. Ses journées étaient donc tranquilles, ou, du moins, elles le furent jusqu'à ce matin d'avril.

Il n'est pas besoin de décrire la fureur que ressentit Modibo quand il constata, ce matin de lundi printanier, que quelqu'un était entré dans la bibliothèque. A travers les vitres de l'arrière-cour, il avait cru percevoir une silhouette autour du rayon de la littérature moderne. Quand il s'approcha plus en avant, et qu'il posa une main sur la vitre afin d'annihiler les effets d'ombre, cette impression fut confirmée par un brusque mouvement qu'il dénota au bout du rayon, sans doute causé par la fuite de l'intrus. Il s'élança alors vers l'entrée principale et ouvrit précipitamment la porte. Lorsqu'il s'engouffra dans la pièce principale qui baignait dans les ténèbres, il était déjà tout essoufflé de la course qu'il venait de faire, et doutait être en mesure d'en livrer une autre. Le souffle court, il alluma toutes les lumières qu'il put, et, muni de sa seule canne, se dirigea droit vers l'endroit où il espérait encore trouver l'individu. Il fut néanmoins soulagé lorsqu'il n'y trouva personne, craignant d'avoir eu à l'affronter seul. Il fouilla toutes les allées, salles de travail et bureaux, mais ne trouva pas trace de la présence qu'il avait soupçonnée tantôt. Aucun rayonnage ne semblait avoir bougé, et le cambriolage n'était visiblement pas le motif du fuyard. S'il était soulagé, Modibo n'en était pas moins intrigué, car il semblait que personne n'était entré dans les lieux depuis la veille au soir. Il se refusait à penser à une quelconque défaillance de sa vue ou à un accès de paranoïa de sa part, car il n'était pas homme à se remettre en cause aussi facilement. Il était certain -- et ses certitudes ne souffraient pas qu'on les bousculât -- qu'une silhouette se trouvait dans le batiment quelques minutes auparavant, il restait seulement à savoir par quel moyen il avait pris la fuite. Bien qu'aucune fenêtre n'avait semblé avoir été actionnée, il était convaincu qu'il ne pouvait s'être enfui que par cette voie. Il examina attentivement les jointures, les buissons qui se trouvaient en contrebas et la terre encore humide, mais il ne vit aucune empreinte que l'importun ait pu laisser. Exaspéré, mais déterminé à redoubler de vigilance les jours suivants, Modibo s'apprêtait à quitter les lieux quand un détail capta son attention. Il avait déjà éteint les lumières, quand il remarqua une irrégularité dans la ligne très droite que formaient les livres rangés sur la troisième étagère du rayon de littérature moderne. Il s'approcha, et vit en effet qu'une couverture de livre dépassait du bloc uniforme qui l'entourait, comme si, dans la précipitation, quelqu'un l'eut mal rangé. Modibo était convaincu que c'était l'oeuvre de l'intrus, car pour sa part, il n'aurait jamais laissé un rayon dans un tel état. Un déséquilibre pareil ne pouvait provenir de lui, qui vérifiait, chaque dimanche quand la bibliothèque était vidée de ses locataires, que chaque livre se trouvait bien à sa place, chaque rayon ordonnée sur une ligne aussi droite qu'une règle d'architecte. Il prit le livre en question et sourit en reconnaissant l'Assommoir d'Emile Zola.

- C'est qu'il lit du Zola en plus, le petit père! murmura Modibo en souriant, amusé de découvrir que le goût de la lecture eut pu conduire un individu à rentrer par effraction dans le bâtiment, au risque de se faire surprendre. Il vérifia qu'aucune page ne manquait à l'ouvrage, le rangea convenablement et sortit, non sans avoir vérifié qu'aucun autre rayonnage n'avait été profané.

A son retour chez lui, il était bien décidé à démasqué le visiteur inconnu, bien que son antipathie envers lui avait fortement diminué quand il avait vu ses lectures. Au pire, il pestait encore contre l'effraction qu'il n'arrivait pas encore à élucider, et sa colère était édulcorée d'un ton de curiosité. Au delà de sa volonté de le surprendre à nouveau, il voulait voir quel genre de vandale pouvait s'introduire dans une bibliothèque sans rien prendre, avec comme seul objectif de lire quelques pages dans le noir.

Et il ne tarda pas, quelques heures plus tard, alors que le soleil déclinait et qu'il en était à sa troisième coupe de lait, à percevoir du mouvement de l'intérieur de la grande-salle de la bibliothèque. La luminosité diurne avait déjà décru d'un bon tiers, mais la vue encore infaillible de Modibo lui avait permis de voir, à deux reprises, une silhouette qui semblait décidément avoir un faible pour le rayon de littérature moderne. Il écarquilla encore les yeux, espérant apercevoir un visage familier ou une vêture qui lui indiquerait l'identité de la personne, mais il ne put voir rien de plus qu'une ombre qui se déplaçait, sans que le propriétaire ne se révélât jamais. Il décida alors de descendre, et de se faire le plus discret possible afin de le prendre sur le fait.

par **Lyncx** 2010-10-07, 04:09

Lyncx

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Message n°4

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Lyncx 2010-10-07, 04:09

Vieux TOUBAB a écrit:Connard, il est où déjà le début? Ou t'es dans les opérations "copy/paste"? !

Yaa giss deh héhé

Va au diable saxx ! Laughing

par **Akissi Sukali** 2010-10-07, 05:20

Akissi Sukali

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Message n°5

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Akissi Sukali 2010-10-07, 05:20

Modibo nexouma! con

comment ca il n'aime pas avril! LE PLUS BEAU DES MOIS!!! hun

je suis pas d'accord!

La suite!!!!!!!!

par **Lyncx** 2010-10-07, 06:23

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Message n°6

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Lyncx 2010-10-07, 06:23

Akiss a écrit:La suite!!!!!!!!

Lyncx a écrit:... La suite vous sera servie début Novembre...

Ou termine le tien d'abord héhé

par **Ladybug** 2010-10-07, 06:27

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Message n°7

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Ladybug 2010-10-07, 06:27

début novembre sori na déééé

par **Yeri Maayo** 2010-10-07, 06:29

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Message n°8

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Yeri Maayo 2010-10-07, 06:29

au fait une chose m'intrigue quand par exemple vous écrivez un mini roman vous postez en attendant d'avoir la suite ou vous rédigez toute l'histoire d'abord ensuite la poster par partie ??

par **Akissi Sukali** 2010-10-07, 06:33

Akissi Sukali

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Message n°9

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Akissi Sukali 2010-10-07, 06:33

Lyncx a écrit:

Akiss a écrit:La suite!!!!!!!!

Lyncx a écrit:... La suite vous sera servie début Novembre...

Ou termine le tien d'abord

on parle pas de moi ici!! la suite legnu wax!! fallait pas commencer dans ce cas la ish!! tu DOIS le finir même si pour cela tu ne dois plus dormir, plus manger, plus boire con

par **Ladybug** 2010-10-07, 06:33

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Message n°10

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Ladybug 2010-10-07, 06:33

kham ngani ki di wakh wakhou novembre il a pas ecrit de suite way! bou done "copy/paste" rek moko téyé doula wakh wakhou novembre way

par **Lyncx** 2010-10-07, 06:35

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Message n°11

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Lyncx 2010-10-07, 06:35

Akiss, je ne dors déjà plus, actuellement héhé

Dormir des heures négatives, ou prolonger la durée des jours n'est pas de mon ressort Laughing

En réponse à Nymphe: personnellement, pour mon dernier mini-roman, le scénario s'élaborait au fur du récit. C'est pour celà que la fin était,... disons... quelque peu tordue.

Pour celui-ci, il n'y a que le scénario de prêt. L'architecture globale, ainsi que de petites portions de texte. Le texte en entier suivra.

par **Lyncx** 2010-10-07, 06:37

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Message n°12

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Lyncx 2010-10-07, 06:37

Lyana a écrit:début novembre sori na déééé

Pour moi aussi. Mais c'est la rançon que je dois payer pour qu'il ne soit pas bâclé... Wink

par **Akissi Sukali** 2010-10-07, 06:42

Akissi Sukali

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Message n°13

Re: [NOUVELLE] (Encore) Sans-titre

par Akissi Sukali 2010-10-07, 06:42

Trouve une solution en tt k con

pour la question de nymphe:moi perso ca dépend des fois j'ai le tout, et quand c'est comme ca je crache tout très rapidement sinon j'aime bien faire évoluer l'histoire en fonction de vos commentaires.
pour le dernier par exemple je n'ai que la fin qui est très claire dans ma tête le reste viendra après... enfin j'espère con