[PAGE PERSO] Secrets de famille: Le Blog de Man Nit Ki !

Man Dofbi a écrit:Je vous écris de mon lit d’hôpital.
Ceci est sérieux. Je prie donc les sabootekat comme Petit Thiam, Mamy, Nemam et Khaf de ne pas donner leurs avis. Si je vous raconte ma vie conjugale, c’est parce que j’ai besoin d’aide. Donc pas sérieux, s’abstenir…
Ma femme, Man Nit Ki, m’a encore battu.
Depuis que nous sommes mariés, nous nous battons presque tous les jours. Au début, les bagarres étaient plus ou moins équilibrées car une fois sur dix j’arrivais à la griffer ou même à la mordre.
Mais depuis quelques mois, elle me dit tous les soirs : « Je vais faire un peu de gym. » Je croyais que c’était pour mieux redresser son joli buste et arrondir ses « virasses », ndekete yoo elle prenait des cours de boxe et d’arts martiaux.
Hier, uniquement parce que je n’avais pas mis assez de sel dans le daxinu lawbe que j’avais préparé et parce que je n’avais fait la vaisselle, elle m’a attaqué. Je me suis défendu comme j’ai pu, mais je n’arrivais pas à la toucher. Ses coups par contre me touchaient bien. Un zuki me fit perdre une dent, un mayijeri et deux de mes côtes furent cassées.
J’encaissais sans crier… Par orgueil. J’avoue quand même avoir fait tomber une table et quelques chaises pour alerter les voisins que j’entendais éclater de rire. Da maa xamul lu dëkëndoo di jariñ. Je crois que je vais porter plainte pour non-assistance à personne en danger.
Ne me conseillez pas le divorce car je n’aime qu’elle et elle n’aime que moi. Nous ne pouvons vivre l’un sans l’autre. Seulement son amour fait trop « Boom ! Bang ! Rééeeeel ! »
A chaque fois que le mot « divorce » sort de ma bouche, je reçois une gifle.
Que dois-je faire ?
Ey waay, mbëgéél bu ca rongooñ tuuroo, sago jeex na.

Gaañi, dimbali léén ma waay !

Fatim a écrit:fallait mordre sa tete

Mamy a écrit:momdofbi , na nga déf?

Man Dofbi a écrit:

Man Dofbi a écrit:Je vous écris de mon lit d’hôpital.
Ceci est sérieux. Je prie donc les sabootekat comme Petit Thiam, Mamy, Nemam et Khaf de ne pas donner leurs avis. Si je vous raconte ma vie conjugale, c’est parce que j’ai besoin d’aide. Donc pas sérieux, s’abstenir…
Ma femme, Man Nit Ki, m’a encore battu.
Depuis que nous sommes mariés, nous nous battons presque tous les jours. Au début, les bagarres étaient plus ou moins équilibrées car une fois sur dix j’arrivais à la griffer ou même à la mordre.
Mais depuis quelques mois, elle me dit tous les soirs : « Je vais faire un peu de gym. » Je croyais que c’était pour mieux redresser son joli buste et arrondir ses « virasses », ndekete yoo elle prenait des cours de boxe et d’arts martiaux.
Hier, uniquement parce que je n’avais pas mis assez de sel dans le daxinu lawbe que j’avais préparé et parce que je n’avais fait la vaisselle, elle m’a attaqué. Je me suis défendu comme j’ai pu, mais je n’arrivais pas à la toucher. Ses coups par contre me touchaient bien. Un zuki me fit perdre une dent, un mayijeri et deux de mes côtes furent cassées.
J’encaissais sans crier… Par orgueil. J’avoue quand même avoir fait tomber une table et quelques chaises pour alerter les voisins que j’entendais éclater de rire. Da maa xamul lu dëkëndoo di jariñ. Je crois que je vais porter plainte pour non-assistance à personne en danger.
Ne me conseillez pas le divorce car je n’aime qu’elle et elle n’aime que moi. Nous ne pouvons vivre l’un sans l’autre. Seulement son amour fait trop « Boom ! Bang ! Rééeeeel ! »
A chaque fois que le mot « divorce » sort de ma bouche, je reçois une gifle.
Que dois-je faire ?
Ey waay, mbëgéél bu ca rongooñ tuuroo, sago jeex na.

Gaañi, dimbali léén ma waay !

Man Dofbi : Alors, elle s’était mise en colère et a voulu me frapper. Mais comme je suis rapide, j’ai esquivé son coup et je me suis retrouvé sous le lit.

Man Dofbi a écrit:COMMENT LYNCX A SECOURU MAN DOFBI

RADIO FANN : Chers auteurs, le thème d’aujourd’hui est la violence conjugale. Notre invité est Man Dofbi qui la vit au quotidien. Dofbi, bonjour !

Man Dofbi : Bonjour !

RADIO FANN : Entrons dans le vif du sujet. Votre femme vous a duma hier.

Man Dofbi : Deet, pas duma. Xale la ñuy duma. Disons qu’on s’est encore battu. On s’était disputé et puis voilà, quoi.

RADIO FANN : Racontez-nous un peu. Pourquoi vous êtes-vous disputés ?

Man Dofbi : Elle m’a donné l’ordre de prendre un seau et d’aller chercher de l’eau au puits. Je lui ai répondu que nous avons des robinets partout dans notre château. Mais elle insista disant qu’elle avait envie de boire de l’eau du puits. Et comme j’ai beaucoup de fayda, je lui ai dit d’envoyer une bonne car un boroom kër ne fait pas ça.

RADIO FANN : Et alors ?

Man Dofbi : Alors, elle s’était mise en colère et a voulu me frapper. Mais comme je suis rapide, j’ai esquivé son coup et je me suis retrouvé sous le lit.

RADIO FANN : Vous voulez dire que vous vous cachiez sous le lit ?

Man Dofbi : Mais non. J’avais glissé. Notre carrelage est trop lisse. Et le lit étant proche,… Euh… Vous voyez, quoi.

RADIO FANN : Oui, je vois. Continuez.

Man Dofbi : Puis, Lyncx, mon planton, a entendu les cris et a accouru.

RADIO FANN : Qui criait, elle ou vous ?

Man Dofbi : Cette fois, c’est elle qui criait. Elle criait : "Sors de là si tu es un homme !"

RADIO FANN : Après ?

Man Dofbi : Dès que Lyncx est entré dans la chambre, j’ai entendu un grand taaaaaa ! Comme les gifles que j’ai l’habitude de recevoir. Je me suis dit que ça allait barder. J’en ai alors profité pour sortir et courir vers la place publique où il y a toujours beaucoup de monde. Au début, à chaque fois que fois que nous nous battions, je reculais jusqu’à cette place. Et là, au lieu de me frapper, elle assommait ceux qui essayaient de nous séparer. Mais dès qu’ils la virent derrière moi, ils se sauvèrent tous. Sachant qu’elle n’allait pas me lâcher sans m’avoir cassé quelques dents et quelques côtes, je courus me jeter dans le puits. Et devinez qui j’ai trouvé dans ce puits.

RADIO FANN : …

Man Dofbi : Lyncx. Il avait couru plus vite que moi. Man Nit Ki vint au dessus du puits et nous dit : "Que faites-vous ici ?" Lyncx et moi, nous lui répondîmes en chœur : "Da ñu lay rootal ndox."

tima a écrit: ndeyssane .bi couple mome fi rék la ammé

Thiamaass a écrit:

Man Dofbi : Alors, elle s’était mise en colère et a voulu me frapper. Mais comme je suis rapide, j’ai esquivé son coup et je me suis retrouvé sous le lit.

Bii moom dof rék moo ko mana gëm ! Les faits sont truqués dé, waxal li nga recevoir ba mujji ci ron lal bi

Evasion a écrit:Man dofbi nettali niou nuit de noce bi!...

Fatim a écrit:man dof bi ani ngua???

Nemam a écrit:allons lyncx xana mamy yafaloula