Bichettesall, je crois qu'ouvrir un thread dans un forum où la majorité ils sont des hommes sénégalais,
il n'a pas été très opportun par ta partie. Avec cela tu ne vas pas faire
réagir ceux qui agissent comme tu dis, en revanche tu obtiendras que ceux qui
ne sont pas comme ça réagissent de la forme comme ils l'ont fait.
Dans mon environnement intime je connais des hommes des deux conditions : ceux qui
savent faire les travaux domestiques et ils le font quand ses femmes ont besoin
de cela ou elles le leur demandent; et ceux qui passent sa journée à glander.
De mes trois frères, un collabore dans tout, jusqu'à le point dont quand son premier fils
est né, c'était à lui que j'ai vu en changeant des couches et en lavant des
petits culs pleins de crotte. Il était entrepreneur hôtelier et sa femme
travaillait comme monitrice infantile … pour les enfants des autres, en
Colombie. Il m'a semblé attendrissant voir mon frère, le playboy, faire de mère
et père. Quand il est parti pour vivre aux USA, il ne savait presque rien
faire. Là -bas il se dégourdit et aujourd'hui il est un homme capable de faire
n'importe quelle chose dans le foyer, bien qu'actuellement sa fonction
principale soit de couvrir toutes les nécessités économiques de sa famille et
il travaille durement pour cela dans ce
pays où il a porté sa femme et ses deux fils. Il est entrepreneur freelance. Sa
femme n'a pas pu être intégrée au système de vie américain pendant les 11
premières années, ainsi qu’elle s'est totalement occupé des travaux
domestiques. Cependant, comme elle avait un master dans sa carrière, cela
l'avait frustrée et mon frère payait les pots cassés de cette frustration. Vous
pouvez vous imaginer ce qu'il doit être de travailler plus de 12 heures en
dehors de la maison et après revenir, trouver une femme pleine de ressentiment
pour ne pas pouvoir professionnellement se réaliser en dehors du foyer et en
plus, n'avoir pitié du mari à l'heure de dépenser l'argent qu'il gagne
durement. Bref, tout un spectacle qui maintenant, comme conséquence de la crise
économique mondiale, semble que cela va changer puisqu'elle a trouvé un travail
dans une université. Mon frère pourra enfin se reposer de la guerre Ã
l'intérieur de son propre foyer.
L'autre de mes frères est un génie, un scientifique qui est dans les nuages, mais aussi il
sait faire n'importe quel travail de la maison. Son problème consiste en ce que
sa femme le craint parce que chaque fois qu'elle a fait appel à lui pour
réparer quelque chose dans le foyer, mon frère non seul l'a réparé à son style,
mais de plus il l'a laissé inutilisable, comme outil pour ses propres
recherches. Cette paire n'a pas de nécessités économiques, telles qu'aucun des
deux n'a pas besoin de faire des travaux domestiques.
Et mon troisième frère a travaillé fort dans sa vie d'émigrant en Espagne. Maintenant
il a préalablement pris la retraite et essaie de vivre une vie relâchée. Il
passe toujours sa journée à glander dans la maison. Il n'a pas d'enfants, en
contrepartie il m'a et je suis pour lui sa petite folle (pas fille). Il a une femme
mais no coment.
Je connais aussi un autre colombien celui que je peux placer au beau milieu, il ne se tue
pas pour aider dans sa maison, mais il ne fuit pas non plus de ses obligations.
Et de mes cinq amis sénégalais, un d'eux travaille tant que bien qu'il veuille,
il ne peut pas aider chez lui, son corps épuisé par le travail ne le permet pas
mais il apprécie l'effort de sa femme. Et les autres quatre ont appris Ã
l'étranger à faire toutes ces choses que jamais son environnement féminin ne
leur avait pas permis de faire là -bas (Sénégal), comme c'est de cuisiner, de
nettoyer, etc.. Ils ont pu survivre sans des femmes, en travaillant durement
pour subsister et en essayant d'avoir ses appartements un peu dans ordre pour
ne pas vivre dans le chaos de la vie de célibataires, mais aussitôt qu'une
femme entrait dans ses vies, certains de ces quatre amis ont oubliés leur
habiletés pour continuer de dégager le rôle de maîtresse de maison, et ils ont
délégué chez ses femmes.
Conclusion :
nous avons la plupart de la faute les femmes. Nous les leurrons en les faisant
croire, dans notre folie tendre initiale, que nous serons pour ceux-ci ses
maîtresses, ses mères, ses soigneuses, bref, qu'ils n'auront à se préoccuper de
rien de plus qui ne soit pas de nous dire chaque jour "je t'aime". Moi,
perso, quand mes petits amis essayaient de m'aider à nettoyer la cuisine, après
l'avoir laissé être une porcherie en préparant un de ses plats africains, (oui,
les gars, je ne sais pas comment quelqu'un peut salir tant pour préparer un
plat que nous allons tarder une demi-heure à dévorer), après avoir vu que si je
lui permettais de m'aider à laver les assiettes, nous courions le risque de
tarder plus d'un jour à nettoyer les traces de sa tentative de nettoyer, (je ne
sais pas si vous les filles m'entendent, je suppose que les toubabs oui), je
choisissais de lui dire "no, papito, tu t'es déjà tué en cuisinant, j'il
fais le reste". Jusqu'à ce qu'une amie m'a écouté et elle m'a dit
"non, chérie, laisse qu'il t'aide, ils savent le faire bien, ce qu'il
passe ce qu'ils le font maladroitement à propos pour que nous tombions dans le
piège et nous ne leur permettions pas de nous aider".