PROLOGUE Le destin, ses dés, son jeu ..
mes yeux ne purent shabituer a cet halo de lumiere pale .il me fallut dix bonnes minutes pour sortir de ma torpeur et couver de syeux les lieux . cet endroit metait totalement inconnu .cette immense chambre blanche aux teintes froides ne minspiraient rien .seuls un lit et un buvoir , servaient de meubles hormis les deux vases de fleurs qui juchaient sur la commode d'a coté . ces fleurs etaient vraiment jolies , les petales souvraient comme si elles souriaient a la vie .je tentais de els toucher mais quelque chose retint ma main / des fils entreméllés, des tubes , des compresses / je voulus les retirer ; mais une voix marreta/
-cest pas une bonne idée ! je tournai la tete et vis une masse humaine devant moi . elle sapprocha dune delicatesse feline et je pus constater que cetait une femme !elle saprocha de moi ce qui déclencha une agressivité hors du commun ; je me débattis ; secouai les barreaux du lit .mes cris parurent la derouter car elle sortit de suite pour laisser la place a un homme vetu de blanc .il tata mes pouls ; se pencha en dessus de ma tete et je le vis faire des grabouillis sur un papier !je sentis une piquere au niveau de de mon avant bras et une torpeur mevahit et mes paupieres se fermerent
mes yeux ne purent shabituer a cet halo de lumiere pale .il me fallut dix bonnes minutes pour sortir de ma torpeur et couver de syeux les lieux . cet endroit metait totalement inconnu .cette immense chambre blanche aux teintes froides ne minspiraient rien .seuls un lit et un buvoir , servaient de meubles hormis les deux vases de fleurs qui juchaient sur la commode d'a coté . ces fleurs etaient vraiment jolies , les petales souvraient comme si elles souriaient a la vie .je tentais de els toucher mais quelque chose retint ma main / des fils entreméllés, des tubes , des compresses / je voulus les retirer ; mais une voix marreta/
-cest pas une bonne idée ! je tournai la tete et vis une masse humaine devant moi . elle sapprocha dune delicatesse feline et je pus constater que cetait une femme !elle saprocha de moi ce qui déclencha une agressivité hors du commun ; je me débattis ; secouai les barreaux du lit .mes cris parurent la derouter car elle sortit de suite pour laisser la place a un homme vetu de blanc .il tata mes pouls ; se pencha en dessus de ma tete et je le vis faire des grabouillis sur un papier !je sentis une piquere au niveau de de mon avant bras et une torpeur mevahit et mes paupieres se fermerent