Je pense que mes pulsions inhabituelles me sont revenues. Des sortes de fantasmes hors du commun. Une série de jeux qui défilent dans ma tête. Le désir me hante depuis des semaines. Ces fameux jeux érotiques que je désire tant expérimenter. Je me suis décidé à m’offrir un bon plan cul de minuit. Question de rendez vous d’une nuit.
Je ne pense pas que ce soit une question de maniaque sexuelle mais de désir corporel naturel humain. J’ai passé toute la journée à réfléchir comment ? Où ? Et quand ? Et bien sûr avec qui ?
Bien que je sois en bonne compagnie, bien que je suis bel et bien avec une fille, je ne peux m’empêcher de chercher ailleurs. Qui n’a jamais eu envie de ces plaisirs sans lendemain ? Histoire de changer de sauce et de soupe. On en a souvent marre de tremper le même dans la même soupe.
23h a sonné je me dirige dans un endroit que je fréquente inhabituellement. Où les nubiles filles à papa chastes le matin, deviennent de véritable prédateur du plaisir charnel la nuit. Mais ma quête cette nuit n’est pas de ces filles faciles. J’ai en effet donné rendez vous à une femme de 28 ans célibataire et sans enfants. Elle travaille en fait comme professeur de français. On s’est connu durant une visite professionnelle dans mon service pour la correction d’une revue annuelle. C’était pour moi la proie idéale pour mon fantasme.
C’est une femme de teint noir, d’origine sérère, avec un corps bien bâti. Elle mesure environ un mètre soixante dix. Aux formes gracieuses et cuisses bien pleines, ses fesses m’ont vraiment excité. Belle, elle l’était dans toutes sociétés. Je remercie la nature de nous avoir gratifié d’un tel être.
Je lui ai parlé de ces rendez vous d’une nuit et de plaisir sans lendemain. Et comme par miracle elle aussi était partisane de ces plans sexes. Et j’ai compris que souvent chez ces femmes belles et attirantes se cachent de grands pulsions et désirs. On s’est ainsi donné rendez vous dans une boite de la place à 00h.
00h sonna ma dulcinée me rejoignit dans le salon. Nous avons échangé un baisé profond. Elle était habillée d’une robe verte avec des rayures grises. Sa fente faisait découvrir ses cuisses gracieuses. Je posais ma main sur cette cuisse comme pour ne rien perdre de la soirée. Elle sourit et après avoir bu quelques cocktails nous nous sommes dirigés vers son appartement où elle vit seule.
Nous montâmes les escaliers jusqu’à la troisième étage et entrâmes dans sa suite. Son logis était beau, les murs couverts de rideaux jaunes. Après avoir fermé la porte je lui faisais voir comment elle était belle, elle me prit par le cou et m’embrassa profondément. Nous nous assîmes sur le sofa et je découvris son sein bien rond et bien dessiné. Une grande beauté. Elle dégageait une grande sensualité avec une peau luisante. Son parfum me faisait bander complètement et me détendait. Sans nous déshabiller complètement, je m’allongeais sur le sofa et elle ouvrit ma braguette, remonta sa robe en découvrant ses cuisses et introduit mon pénis dans sa vulve. Elle ouvrit ma chemise découvrant ainsi mon buste et se pencha sur moi mettant ainsi en contact ses seins contre les miens. Nous fîmes l’amour sur cette position pendant un bon moment. Nous nous libérâmes émotionnellement des exigences sociales assumant nos actes en tant qu’adultes responsables. Et nous savourâmes tous les deux ce moment de folie.
Nous nous déshabillâmes et se mirent nus sur le tapis de laine du salon. Echangeant des baisés et nous découvrant l’un l’autre, ceci était tout à fait stimulant. Nous fûmes comblés de bonheur et de désir. Après avoir pris une douche tous les deux je me rhabillai et nous prîmes ensemble un extras, puis je me remis sur le chemin du retour après avoir échangé un baisé sur le cou, un caresse et un sourire.