C'est un homme, d'environ 38 ans, pas violent d'après les témoins, sans travail, et très prétentieux Après un passage dans un dancing de la place, il trouve un boulot dans une imprimerie. Apparemment bien que sur le lit, H. R. sera renvoyé aussi de cette imprimerie. Aujourd'hui, à la recherche d'un nouveau job, le pervers, sous prétexte que le salaire qu'on lui propose est en dessous de ses mérites, se la coule douce dans son appart, en s'amusant à prendre des photos, tourner des films avec des filles avant de les trousser. Comme Dibor, Yaba, appelons la ainsi, est une jeune étudiante victime de H. R. Mais une victime spéciale, car dans les films et vidéos, elle y occupe une place très importante. Normale, car si les autres sont des copines éphémères du pervers, Yaba . est sa copine depuis novembre 2005, date de leur rencontre. Plus que choquée, par ces centaines de photos que nous lui avons défilées sous ses yeux, la jeune femme a fondu en larmes.
Des larmes de regret, mais aussi de naïveté, même si, elle admet avoir été consentante. «Je le regrette, mais sachez, que je n'ai reçu aucun franc pour ces photos et vidéos. H. R., je l'aimais, et lui faisais confiance. À chaque fois que j'allais chez lui, il ne me remettait que l'argent du taxi ou même rien. Il arrive qu'il me demande le moyen de transport que je vais prendre, si je réponds, le car, il me dit de prendre un taxi, car il se fait tard. Et ce n'est pas tout le temps, car je n'accepte pas qu'un homme me donne de l'argent. Sinon, il va te conditionner», explique-t-elle, les yeux pleins de larmes.
À voir ces images ignominieuses prises par le pervers, on ne manque pas de se demander si le jeune homme n'a pas eu affaire à des professionnelles. Que nenni, elles sont toutes des amatrices qui ont appris tout en suivant religieusement les conseils du photographe. Mieux avoue Yaba : «il montrait des vidéos, des positions à faire et je le faisais. Car je l'aimais, mais je ne savais pas qu'il couchait avec autant de filles» (au moins soixante, d'après le décompte effectué par Walf Grand-Place à partir des copies que détient notre rédaction, Ndlr).
Sur certaines images, c'est un H. R., en pleine action qui immortalise ces moments. Mais précise, la jeune fille sur les photos prises attentivement avec un appareil de marque Canon Powershot A310 : «tantôt, il le programme et tantôt c'est en faisant l'amour, qu'il prend les photos avec l'autre main.»
En plus d'être un maniaque, H. R. ne semble pas aimer le préservatif. Du moins sur la soixantaine de filles qu'il a photographié, et passées dans son lit, le salaud utilisait rarement un préservatif «J'avoue qu'on le faisait sans préservatif, car j'avais confiance en lui. De plus, je croyais que j'étais la seule avec qui il avait des relations», précise Yaba.
La grande question qui mérite réflexion aussi bien de la part de ces filles qui, en lisant ce texte s'y reconnaîtront, que des autorités, c'est à quelle fin, H. R. prenait toutes ces photos. Car cet argument de vouloir fantasmer une fois seul, ne tiens guère debout, car si tel était le cas, H. R. aurait-il vraiment besoin de photographier plus de soixante filles nues.
Retour sur un film inédit
Des positions obscènes avec toutes les catégories de filles !
Il est de nationalité française, il a environ 38 ans et tient sur 1,80 m. Il serait imprimeur de son état et vit à Mermoz à proximité du journal Express news. Lui, c'est celui qui a fait «l'exploit» de prendre en photos plus d'une soixantaine de filles (de plusieurs nationalités, avec une écrasante majorité de jeunes sénégalaises, des camerounaises et autres) de tous âges et de toutes catégories. Et ce depuis 2004. Et pas n'importe quelles photos. Celles-ci sont à la limite inqualifiables parce que pas jolies à voir. Elles sont obscènes, immorales, amorales, frustrantes, insolentes, etc. Difficile de décrire ces images ! Il y en avait de toutes les couleurs. On y voit tous les fantasmes propres aux poseuses pour revues et sites pornographiques. Ajoutez à cela les accessoires de masturbation, genre godemiché, des bananes toutes fraîches, des giclées de liquide séminale sur la bouche, les seins...
Les filles, il y en a de tous les goûts, de toutes les beautés, de tous les âges... Teint noir, clair, café au lait, etc. Idem pour les formes. Des «yeukëti yanké», «driankés» et «mini-driankés », taille fine, des rondes. On y a même identifié des mariées. Certaines filles semblaient même être des mineures au moment de leur passage dans le lit du maniaque. Toutes passées à la casserole par ce jeune pervers blanc qui semble passer du bon temps à Dakar en découvrant les négresses dans toutes les poses et perversions. Tout cela s'est déroulé entre 2004 et 2008 dans l'intimité d'appartements à la Médina, aux Parcelles Assainies, à la cité Adama Diop près des Hlm Grand-Yoff, aux Almadies, à Mermoz... La vidéo de la plus récente séance a été tournée le 19 janvier 2008 à 1 h 59 du matin. Ces orgies avaient lieu à n'importe quel jour et à toutes les heures de la journée si on en juge les informations accompagnant chaque image.
En fait, H. R., nommons le ainsi, a choisi une drôle de manière sinon la pire de «se souvenir de ses copines lorsqu'il est nostalgique» et de «s'exciter avant de passer à l'acte». En clair, pour assouvir ses désirs, il leur exigeait une certaine position, selon nos sources.
Des propos confirmés par les centaines de poses et de films vidés dont Walf Grand-Place détient des copies. Ce que nous avons d'ailleurs remarqué sur les images qui sont à la fois des photos et des vidéos.
Mais la position à «quatre pattes » semblait être son favori. Presque toutes les filles ont été prises en photos de cette manière. C'était comme qui dirait sa position préférée parmi tant d'autres. Aussi, H. R, se faisait un malin plaisir de photographier les filles avec leurs vêtements avant toute chose. Et ce, jusqu'à ce qu'elles soient complètement à poils. Histoire de mieux corser ses fantasmes. Même si certaines d'entre elles ne semblaient pas porter de slips lorsqu'elles se rendaient chez lui. En tout cas, c'est le constat fait sur les images. Hormis les positions, il y a des filles qui cachent leur frimousse et d'autres agissant à visage découvert. Certaines filles avaient également un godemiché enfoui dans l'entre deux jambes. Pour d'autre, c'est une banane d'une taille imposante. De l'avis d'une de nos sources, ce «gode» est un appareil qui a la forme d'un sexe masculin équipé d'un vibreur que l'on déclenche pour provoquer le plaisir.
Précisons en outre que le toubab avait un matériel complet. Sur le fond d'écran, nous pouvons apercevoir un ordinateur portable, un téléviseur. Le fond nous révèle toujours qu'il y avait un salon où il a installé un canapé en rotin. D'ailleurs beaucoup des scènes commençaient sur ce canapé. Nous avons remarqué aussi qu'il se sert du tissu batik pour en faire ses draps.
À côté des photos, H. R. a tourné des vidéos avec ses filles. À ce niveau, il faut préciser qu'il se retire, par moments, pour laisser les deux filles se livraient à un jeu de lesbiennes. Et c'est alors en cameraman qu'il se transforme. Sa voix est audible et nous entendons des paroles du genre: «tu aimes te caresser. Tu as tout là. Regarde-moi . C'est bon - c'est bon. J'adore tout ce que tu me fais. Je vais te montrer ça (il leur montre des séquences enregistrées dans l'ordinateur, Ndlr). On y va avec toi, chérie. Écarte tes fesses avec les mains... oh c'est beau!»
Source: Walf Gran Place
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