par Colombe 2009-10-25, 19:00
Permets-moi de sortir de la piscine de tes yeux!
Le monde est trop petit pour nous deux.
Je n'aime pas: la haine et l'amour ...
Que du givre farouche,qui me chauffe la poitrine.
Permets-moi de sortir de la piscine de tes yeux!
Le monde est trop petit pour nous deux.
Je n'aime pas: la haine et l'amour ...
Que du givre farouche,qui me chauffe la poitrine.
Quand on tombe, mais tu sens que tu planes,
Quand tu gelés, mais dans la poitrine ya des incendies , tu sais?
Quand la pluie ne laisse pas un endroit sec
Mais tu n'attends que lui sortir de la maison.
Quand un SMS arrive : «Trop tard!" C'est fini.! " et un point en gras
Et tu ne peux pas dormir la nuit.
Tu te sens pas a l'aise si vous vous rencontrez par hasard.Et les regards ...
C'est - mon poison lent.Je suis comme un prisonnier de ce monde.
Quand votre sort pour quelqu'un ce sont des rires,
La profondeur des yeux ou des cheveux pures.
Et je n'ai pas besoin de tes larmes au telephone.
Incertaines à l'autre bout, crois moi!
Tu es ma hystérie!
Et je n'ai pas besoin d'autres, quand je veux oublier.
J'ai besoin que des mots, mais je gardé le silence.
Encore une fois, sous les fenêtres à errer, comme par hasard, je suis fatiguée,
Je suis fatiguée de l'amour et du désespoir.
Permets-moi de sortir de la piscine de tes yeux!
Le monde est trop petit pour nous deux.
Je n'aime pas: la haine et l'amour ...
Que du givre farouche,qui me chauffe la poitrine.
Permets-moi de sortir de la piscine de tes yeux!
Le monde est trop petit pour nous deux.
Je n'aime pas: la haine et l'amour ...
Que du givre farouche,qui me chauffer la poitrine.
Nous avons coupé les ailes de l'autre
Nous ne sommes etranglés par la douleur et la faiblesse,
Alors essaies de soulager la terrible passion -
Être un ''seul'', unifiés,et indivisibles.
Où en sommes-nous? De la souffrance du sang coulant dans les veines.
Je m'ennuie de ce désert,
Ce lit, le mot "Pardonnes moi" --
Esseule, comme toi-même!
Lâches-moi! Je crie, laisse moi aller!
Je méprise les feuilles, en absorbant la brillance de tes cheveux.
Seigneur, ta voix, transportant une centaine de caresses et de larmes provoquent une mer.
Malheur à moi ... Et malheur à toi!
De guerre lasse, pour construire le cœur d'un abri.
C'est n'est pas l'amour!Tu entends? C'est purgatoire!
Que nous allons noyer, gémissant, gémissant,
Ames déchirés, adorés,
Ou que nous partions...
Permets-moi de sortir de la piscine de tes yeux!
Le monde est trop petit pour nous deux.
Je n'aime pas: la haine et l'amour ...
Que du givre farouche,qui me chauffer la poitrine.
Permets-moi de sortir de la piscine de tes yeux!
Le monde est trop petit pour nous deux.
Je n'aime pas: la haine et l'amour ...
Que du givre farouche, puis me chauffer à la poitrine.