[POERIE] Falsifions Les Grands Poèmes Avec Des Jeux De Mots !

great ! un exemple way

Je n'ai plus d'inspiration... !
Bon voyons avec SENGHOR quand il disait "Du haut d'un col calciné"
Si on disait "Du haut d'un cul calciné"? ! On s'en fout de toute façon c'était un vieux pervers et ça m'étonnerait qu'il n'ait pas pensé ça... Faut dire qu'avec ses histoires de "bander" eh bien il penserait sans faute beaucoup plus à la "bite" qu'aux yeux !

qui aime bien chatie bien je dirais plutot qui aime bien baise bien pour ne pas dire kate bien

Weupeuteuleuwww! .. Ki l'eut cru?
Les mots valent moins que les actions - Les maux valent moins que le plaisir! Manam tiens bon rek baneekhou danoubi djarnako.

Mes bien chers frères

Mes bien chères soeurs

Reprenez avec moi tous avec moi

Pas de main de Titi

Pas de penalty



Pas de boogie woogie

Pas de boogie woogie

Avant votre prière du soir....

Pas de boogie woogie

Boogie woogie boogie woogie

Le pape Henry a dit Que l'acte de tricher sans être pris n' est pas un péché. Cette nouvelle il me faut l'annoncer à ma paroisse je suis curé. Et j'ai pris une dose de whisky afin de préparer mon sermon je n'ai pas fermé l'œil de la nuit je me posais bien trop de questions. Au petit matin Dieu m'est apparu et il m'a donné la solution Aussitôt vers l'église j'ai couru parler à mes fidèles sur ce ton : Mes biens chers frères, mes biens chères soeur, reprenez avec moi tous en coeur : Pas de Boogie woogie avant de faire vos prières du soir (Boogie woogie, pas de Boogie woogie) ne faites pas de Boogie woogie avant de faire vos prières du soir (Boogie woogie, pas de Boogie woogie) maintenant l'amour est devenu péché mortel, ne provoquez votre père éternel non pas de Boogie woogie avant vos prières du soir. Puis j'ai réclamé le silence en france , afin d'observer les réactions, sur certains visages de l'assistance se reflétait surtout l'indignation. Quand aux autres visiblement obtus voyant qu'ils n'avaient rien compris il me demandèrent de faire à nouveau le sermon du Boogie woogie Ah, mes biens chers frères, mes biens chères soeurs reprenez avec moi tous en coeur : pas de Boogie woogie avant de faire vos prières de soir (Boogie woogie, pas de Boogie woogie) ne faites pas de Boogie woogie avant de faire vos prières du soir maintenant l'acte de tricher est devenu payer comptant, provoquez votre père éternel non pas de Boogie woogie avant vos prières du soir Maintenant tout est fait, tout est dit Et mes fidèles sont partis. Et je reste seul dans ma maison, J'en est l'air mais le dire à quoi bon. Si ton pape HENRY m'a fait perdre l'affaire J'irai tout droit, tout droit en Afrique du sud mais j'essairais de reprendre à la messe de minuit le sermon du Boogie woogie pour siffler les coqs J'ai essayé de m'amuser avec ça ailleurs...puisque le foot fait l'actualité..

Voici venir les temps où vibrant sur mes piges
Chaque soeur se déshabille ainsi qu'une passoire ;
Les cons et les langues tournent dans l'aire du soir ;
Baises mêlant coliques et savoureuses tiges !

Chaque pagne s'adore ainsi qu'un lent espoir ;
Le fion se ferme comme un cul qu'on afflige ;
Valse buccale sur les verges qu'on érige !
La poule aime fists et godes comme un grand suçoir.

Le viol bon frémit comme un puissant déluge,
Une chair tendre aux trous béants, vastes et noirs !
Le miel sur son cou coule comme dans un couloir ;
Le phallus se noie dans son séant callipyge.

Une sueur perle sous ses seins... A boire!
Juge partiale et fait taire tout litige !
Ses reins ont ployé sous mon saillant prestige ...
Mon souvenir en toi: tu ne peux plus t'asseoir !


Baux de l'aire, L'oeuf, leurre du mâle.

vous etes trop forts !

oowww je kiffe trooww ce game! bon à moi à moi!!!


"Aujourd'hui dès l'aube à lheure où blanchit le village
Je resterai. Vois tu, je sais que tu ne m'attends pas"

Travaillez, prenez de la pine :
C'est le fond qui compte le plus.
Un lâche laboureur, cent ans d'amour en chaine,
Fit venir ses encens, leur parla sans témoins.
"Garde-à-vous! leur dit-il, faut prendre les pétasses
Que nous ont laissé nos tontons :
Un trésor est caché au fond.
Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de culasse
Vous le fera trouver : vous en fendrez les bouts.
Remuez leur les seins dès qu'on aura fait l'oût :
Creusez, fouillez, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la bite ne passe et repasse."
Le père mort, les pénis vous retournent les champs,
Deçà, delà, dans tous les trous....
Si bien qu'au bout du gland
Elles en rapportèrent des vintages.
D'argent, point de caché. Mais le père fut sage
De les monter avant sa mort:
La fille qui avale est un trésor.

Lyncx a écrit:Voici venir les temps où vibrant sur mes piges
Chaque soeur se déshabille ainsi qu'une passoire ;
Les cons et les langues tournent dans l'aire du soir ;
Baises mêlant coliques et savoureuses tiges !

Chaque pagne s'adore ainsi qu'un lent espoir ;
Le fion se ferme comme un cul qu'on afflige ;
Valse buccale sur les verges qu'on érige !
La poule aime fists et godes comme un grand suçoir.

Le viol bon frémit comme un puissant déluge,
Une chair tendre aux trous béants, vastes et noirs !
Le miel sur son cou coule comme dans un couloir ;
Le phallus se noie dans son séant callipyge.

Une sueur perle sous ses seins... A boire!
Juge partiale et fait taire tout litige !
Ses reins ont ployé sous mon saillant prestige ...
Mon souvenir en toi: tu ne peux plus t'asseoir !


Baux de l'aire, L'oeuf, leurre du mâle.

Comment avais-je fait pour ne pas voir ça? !
Putain ce pov'con vas nous exterminer tous !

yena dof dal.....mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

Les mots ne sont pas morts
Ecoute plus qu'avant
Les proses et les lettres,
La voix du feu d'antan
Entends la voix des mots
Ecoute dans l'avent
Le buis qui fond en sanglots :
C'est le souffle des encres traitres.
Celles qui sont mortes ne sont jamais écrites
Elles sont dans l'ombre qui s'éclaire
Et dans les décombres des mots sursis,
Les mots ne sont pas sous la terre
Ils sont dans le Verbe qui frémit,
Ils sont dans le bois qui écrit,
Ils sont dans le héraut qui court,
Ils sont dans le halo qui vole,
Ils sont dans la casse, ils sont dans le style
Les mots ne sont pas saurs.
Ceux qui sont sourds ne sont jamais maudits,
Ils sont dans le sein de la gemme,
Ils sont dans l'enfant qui plagie,
Et dans le stylo qui s'enflamme,
Les mots ne sont jamais sous-verre,
Ils sont dans le pieux saint oint,
Ils sont dans le rocher où on peint,
Ils sont dans les gerbes qui pleuvent,
Ils sont dans les sonnets, ils sont dans la mesure,
Les mots n'ont pas tort.
Ecoute plus, sous vents
Les roses que les hêtres,
La voix verbeuse s'étend
Entends la voix des baux
Et goûte dans l'harmattan
Le puissant élan des flots :
C'est le soufre des encres champêtres.
Le souffle des anciens mots
Qui ne prennent pas parti,
Qui ne sont pas sous terre,
Qui ne sont pas saurs.
Ecoute plus, comprend
Les pauses et les piètres,
La voix des deux s'entend
Entends la voix des mots
Ecoute dans l'autan
Le petit son des sanglots :
C'est le souffle des blancs sceptres
Il redit à chaque tour le pacte
Le grand pacte qui délie,
Qui allie à la foi notre sort
Aux entractes du souffle des ténors,
Le sort de nos mots qui n'ont pas peur;
Le lourde barque qui nous lie aux Parques
Des poésies qui émeuvent.

Dans le lit et sur les missives qui pleuvent,
Dans plusieurs souffles qui se meuvent
Dans le clocher qui geint et dans le Verbe qui pleure
Des souffles piteux meurent
Dans l'encre qui éclaire ou s'épaissit,
Dans le scribe qui frémit, dans le roi, dans l'élite,
Et dans l'Hérault qui coule et dans le roc qui mord,
Des souffles barbares, qui ont pris
Le souffle des mots qui ne sont pas morts,
Des mots qui ne font pas partie
Des mots qui ne sont plus sous les vers.
Ecoute plus, savant,
Les proses que les vêpres...



Les mots ne sont pas morts.

Allons, défunts de la patrie
Le jour des noirs est arrivé!
Contre poux de la tyrannie
Les sandales sanglantes sont levées (bis)
Entendez-vous ans nos compagnes
Mugir nos petits soldats
Il viennent jusque dans leurs bas
Pendre leurs fils et leurs courts pagnes
Aux charmes, citoyennes!
Fumez vos bas talons!
Marchons, marchons!
Qu'un jet impûr
Abreuve vos fions!

T'es qu'un povr'inbéssil

Allez, attaquons-nous à ce cher Senghor:

Femme, pose sur mon lion tes seins balsamiques,
Tes seins poussent plus que ta fourrure.
Là-haut mes palmes balancées qui jouissent dans ta grotte, prise nocturne
À peine. Pas même la chanson de nourrice.
Qu’elle nous berce, ma vile lance rythmée.
Écoutons ton chant, écoutons s'ébattre ton séant sombre, écoutons
Battre mon pouce au fond de ta crique, dans la brume des vils âges perdus.

Voici que mes pines et ta dune s'enlacent vers ton lit de mer étale
Voici que s'assoupissent les éclats de chair, que les cons noirs eux-mêmes
Dodelinent de la bête comme ta fente sur le bout de mon dard
Voici le pied que nos denses sueurs sales ourdissent,
que s’alourdit ta langue sur nos liqueurs alternées.

C’est l’heure des étoiles et du Puits qui démange
S’accouple à cette colline de bourrages, dardée vers ton long pagne de lait.
Mes doigts dans ta base luisent tendrement. Que disent-ils, si confits dans ton miel, aux étoiles ?
Dedans, le feu s’éteint dans l’intimité d’odeurs âcres et douces.

Femme, allume ma hampe au beurre clair, que causent autour tes reins experts comme les bacchantes, les enfants au lit.
Écartons la voie que mon rein dévissa. Comme nous sexes huilés
Ils n’ont pas voulu s'ouvrir, que se perdît sous la table leur torrent séminal.
Que j’écule, dans ta case allumée que visite un reflet d’armes propices
Ma bête sur ton sein chaud comme un dang au sortir du feu et fumant
Que je respire l’odeur de nos corps, que je te cueille et attise ta voix vibrante, que j’apprenne à
Raviver tes pans de peau tendre, au-delà de ma chaleur, dans les hautes profondeurs de ton sommeil.

Bruits de pine.

Je vais surement m'attirer les foudres de certains patriotes, mais qu'importe...

Hymne carcéral.

Pansez tous vos auras, drapez votre mal à fond:
Le lion bouge et mugit.
La puanteur de la brousse
Contre lui, s'est enlacée;
Assis dans les ténèbres
Sous l'oeil de nos terreurs, sommeille sur nos espoirs
A bout, frères! Car voici, l'histoire enterrée...

Ténèbres de nos choeurs fiers
Ma geôle contre ta geôle, suppliques amères
Aux séniles valets du diable
Punis sans nos pairs ni nos bourses, punis sans procès à cent coups de fouet
Saluons l'Afrique si chère!

I'll be back for the remaining...

ca me rappelle l'hymne qu'on avait déformé avc les copines et qu'on chantait quand on nous obligeait a faire la levée des couleurs à l'internat!pitiin gnunee gno rewone rek

Lyncx a écrit:Je vais surement m'attirer les foudres de certains patriotes, mais qu'importe...

Hymne carcéral.

Pansez tous vos auras, drapez votre mal à fond:
Le lion bouge et mugit.
La puanteur de la brousse
Contre lui, s'est enlacée;
Assis dans les ténèbres
Sous l'oeil de nos terreurs, sommeille sur nos espoirs
A bout, frères! Car voici, l'histoire enterrée...

Ténèbres de nos choeurs fiers
Ma geôle contre ta geôle, suppliques amères
Aux séniles valets du diable
Punis sans nos pairs ni nos bourses, punis sans procès à cent coups de fouet
Saluons l'Afrique si chère!

I'll be back for the remaining...

Pas besoin, c'est bon comme ça !

Écrite début 2010, je vous offre celle-ci! L'accent est mis sur la ressemblance vocale plus que sur la concordance sémantique...

Afrique!
Ah! Fric monétique
Affres des fiers charniers que les ravages et les incestes râlent
Ah! Trique que chante ma grammaire
Aux ports des beuveries lointaines
Je ne t'ai jamais conçue
Mes morts et hagards sont peints de ton sang
Tu bosses sans soir, à travers leurs champs éperdus
Les chants de nos soeurs
Nos soeurs qu'on empaille
De la paille de leurs ravages
Des ravages qu'on consent

Afrique, témoin sans risque,
Est-ce donc de toi, ce bot qui s'embourbe
Et se cache sous les rois de l'humus et du thé?
Ce sot tremblant, sans carrure ni refuge
Qui se soumit au rouet dans les soutes de pipi?

Alors gravement une foi se répandit
Averse impétueuse, cabrant les arbustes jeunes
Sabre de combat
Splendide monceau oublieux des peurs
Lâches et damnées
C'est l'Afrique, ses répliques, ses secousses
Qui émoussent pesamment ce bloc de ciment
Et dont les puits pompent le feu
Et la mer, à l'heure de la liberté.

Lyncx a écrit:Travaillez, prenez de la pine :
C'est le fond qui compte le plus.
Un lâche laboureur, cent ans d'amour en chaine,
Fit venir ses encens, leur parla sans témoins.
"Garde-à-vous! leur dit-il, faut prendre les pétasses
Que nous ont laissé nos tontons :
Un trésor est caché au fond.
Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de culasse
Vous le fera trouver : vous en fendrez les bouts.
Remuez leur les seins dès qu'on aura fait l'oût :
Creusez, fouillez, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la bite ne passe et repasse."
Le père mort, les pénis vous retournent les champs,
Deçà, delà, dans tous les trous....
Si bien qu'au bout du gland
Elles en rapportèrent des vintages.
D'argent, point de caché. Mais le père fut sage
De les monter avant sa mort:
La fille qui avale est un trésor.

! Putain...... Vaillants conseils !!!

lyncx wa salam !j'adore ta façon de manier la langue avec des mots doux et à la fois hostile par moment

Thiam, njaaxumm rekk ngayy sulli! Putain!

Douceur, merci Et pour info, je manie mieux la langue que les langues On va dire que je suis polyglotte

j'adore encore plus quand vas-tu m'apprendres?

Dès que j'en aurais fini, ici, avec la langue espagnole, suédoise et gasconne

Y en aura certaines qui seront fourchées alors ! Bonne clitofourure !