semaines, défraie la chronique dans la localité de Maféré, située à
environ 150 Km d’Abidjan. Une situation qui s’apparente au cas “ Taman
Robert ” du nom de cet infortuné qui, il y a quelques années, vivait
une anomalie similaire. En effet, selon une source bien introduite,
K.A, jeune ivoirien âgé de la trentaine, a été coopté avec bien
d’autres personnes, pour animer le Centre de dépistage volontaire (Cdv)
ouvert dans la commune par les autorités municipales à l’effet de
lutter efficacement contre la pandémie du Sida dont le taux de
prévalence dans la région, inquiète.
En tout cas, le Cvd ne désemplit jamais. Notamment de
la gent féminine qui auprès des jeunes volontaires, veut en savoir
davantage sur la maladie. Tout y passe alors : conseils d’usage et même
rencontres amoureuses. K.A entre-temps avec son statut de “ médecin ”,
maîtrisant son art, devient le bien-aimé des jeunes filles. C’est là
aussi qu’il fera preuve de légèretés. Avec les filles évidemment, les
séances d’explication du port du préservatif, doivent être
expérimentées au lit. Malheureusement, selon les folles rumeurs, l’une
de ses nombreuses conquêtes, était “ cadenassée ” de façon occulte.
Car depuis environ une quinzaine de jours après avoir
fait l’amour avec cette dernière, son sexe demeure tendu. Il est
victime de priaprisme. Mais lui apparemment, ne le savait pas. Au
début, il pensait que c’était juste un bobo passager. Au centre de
santé où il se rend, il lui est expliqué qu’il devrait plutôt prendre
l’affaire au sérieux. C’est anormal l’état que présente son « muscle ».
Et là, K.A va déchanter lorsque la situation perdure. De plus, on
insiste sur un mauvais sort qu’on lui aurait lancé. Concernant
l’origine du mal, les regards sont tournés vers une jeune fille avec
laquelle il aurait entretenu des rapports sexuels peu avant le
déclenchement de son mal.
Cette dernière serait la femme d’un autre natif de la
ville. Un cocu qui n’a pas admis qu’un autre « cultive son jardin
secret ». C’est donc pour se venger, qu’il a lancé le mauvais sort au
jeune homme. De la même jeune fille par qui le mal serait arrivé, on
dit qu’elle aurait été également, la femme d’un féticheur résidant au
Ghana. Pendant qu’on se livre à des supputations, l’état de santé de
K.A se dégrade. Ses douleurs sont de plus en vives. Quelque peu dérouté
par ce qui lui arrive, le jeune homme a décidé de vivre reclus, avant
de solliciter les services d’un guérisseur résidant dans le village
d’Assouba.
Aux dernières nouvelles, toute la maestria dont a fait
montre le guérisseur, n’a pas produit les résultats escomptés. La
raideur du sexe du « supplicié » demeure. La situation est si
préoccupante que la chefferie traditionnelle de Maféré saisie de
l’affaire, a décidé de convoquer une réunion de “ crise. ” Ce à l’effet
(si besoin il y a), d’amener le cocu à entendre le cri du cœur de celui
qui l’a cocufié. Source : Soir Infos
Un cas similaire à celui de ‘’ Tama Robert ‘’ (l’homme
rendu célèbre du fait de son sexe resté en érection plusieurs semaines
durant) a été enregistré dans le département d’Abengourou.
En effet, depuis quelques jours, l’information d’un
homme atteint de priapisme circule dans la cité royale. Nos sources
révèlent que le malheureux suit des traitements chez une guérisseuse
traditionnelle au quartier ‘’ Agnikro-Extension ‘’. Chez cette dernière
où nous nous sommes rendu, on apprend que le malade est rentré à
Aniassué, son village natal, situé à environ 25 km au sud d’Abengourou.
Sur place, le lundi dernier 23 juin, l’homme que nous
découvrons, drapé dans un pagne à l’image d’un nouveau circoncis, a du
mal à se déplacer correctement. Mais, il a tout de même bonne mine.
Malgré son sexe, toujours tendu. Et cela, depuis 7 jours. Que s’est-il
passé ? A ce niveau, le malade entretient un curieux mystère. Il
soutient n’avoir eu aucune déviation. Profondément gêné par son état de
santé, l’homme, approchant la quarantaine, refuse toute prise de vue.
Au demeurant, il propose que son cas soit mis sous
presse un peu plus tard. Ce point de vue n’est nullement partagé par
certains de ses proches qui estiment, plutôt, qu’il n’y a plus rien à
cacher. Selon les informations, quelques mois avant, le sexe de Nanou
Blaise, c’est de lui qu’il s’agit, avait subi une première agression.
De fait, alors qu’il consommait tranquillement du vin de palme avec des
amis, un chien sorti de nulle part, s’était attaqué à lui et l’avait
mordu au sexe. L’érection persistante dont il est l’objet actuellement,
serait-elle liée à cette vilaine morsure ? Pas si sûr. Vu que cet
incident s’est produit il y a bien longtemps.
Qu’à cela ne tienne. Selon toujours nos renseignements,
c’est dans la nuit du mardi 17 au mercredi 18 juin dernier, aux
environs de 2 h, que l’infortuné planteur, a vu son sexe se dresser
subitement. L’homme, célibataire et père de 2 enfants, qui prétend
n’avoir entretenu aucune relation sexuelle depuis près de 2 mois, pense
d’abord à une érection normale. Mais il déchantera très vite. Il
souffre terriblement. Jusqu’au lever du jour, la situation ne change
guère. Trois jours durant, la douleur intenable, l’empêche d’aller aux
toilettes. Il a du mal à se déplacer. Il aura fallu l’intervention
d’une horde de praticiens d’origine béninoise, rompus aux procédés
mystiques, pour atténuer quelque peu, la douleur. N’empêche, le sexe,
lui, est toujours en érection.
Est-il victime d’un mauvais sort ? Avons-nous affaire à
un mal naturel ? S’agit-il des effets collatéraux de la morsure du
chien ? Ce sont les questions, que l’on se pose. L’ennui est que, de
pseudo guérisseurs, profitent de la situation, pour lui extorquer des
fonds contre une prétendue guérison immédiate. Blaise continue de
souffrir depuis près de 10 jours. D’où viendra son salut ? Il se le
demande.