Salut à tout le monde, voilà un sujet que je
propose suite à une "proposition" (excusez la répétition) par Bijoux et
Cubana dans un autre thread du forum (précisément ICI).
C'est un thème qui, en terme de conscience comme en terme de physique esthétique, fait couler beaucoup d'encre mais aussi beaucoup de salive. On en parle partout en Afrique mais pratiquement on pourrait constater que rien ne se fait.
Le changement de couleur, eh oui, le mot est vraiment gros mais il s'agit bien vraiment de ça, est devenu un phénomène très "à la mode" chez nos jeunes soeurs.
Actuellement, la peau noire et qui brille noire, pourrait nous sembler ridicule vu la manière avec laquelle les africaines s'en débarassent. Des peaux délavées, des corps "déshabillés" et tout un concept avec : c'est vraiment un fléau.
Alors moi je me demande si c'est la conjoncture actuelle qui le demande (c'est à dire à peu près comme une nécessité) ou bien c'est le complexe nourrit vis-à-vis de l'Occident qui le cautionne?
Je n'arrive vraiment pas à cerner pourquoi on nous crie partout la beauté noire, l'ébène, le nubian etc, alors que juste à coté il y a des meufs qui lutte, corps et âmes et de manière acharnée, pour se débarrasser de cette couleur là? Il y a vraiment une absurdité quelque part. C'est vrai, chacun peut faire ce qu'il veut et une femme est libre d'"améliorer" sa beauté (si on peut l'appeler ainsi) mais est-ce réellement ce dont on a besoin pour être BELLE? Avec les risques sanitaires aussi je ne vois pas de justification valable pour s'adonner à cette pratique.
Que d'inconvénients ! Et au bout du compte : que de regrets !
Alors où se situe le problème selon vous?
Pour tous les membres et utilisateurs qui fréquentent ce forum.
Je rappelle que les sujets sont libres, les contributions aussi de même et leur création pareillement. Donc si vous trouvez qu'un sujet peut intéresser les gens, n'hésitez surtout pas à le créer et à lancer le débat. Cela évitera la monotonie et m'épargnera du "devoir" de tout faire. Je vous remercie pour votre compréhension.