Le rapprochement entre la ville de Lorient et Cayar, le plus gros port de pêche artisanale du Sénégal, porte sur un projet de traitement des eaux usées au moyen d'un système de lagunage, une approche biologique, intéressante en terme de coût comme d'impact sur l'environnement.
Lancé en 2006, le projet de création d'un système d'épuration des eaux usées est entré dans sa phase opérationnelle. Les premiers coups de pioche ont été donnés début février pour des travaux qui devraient durer quatre mois.
Les services techniques lorientais ont assuré la conception initiale du projet en lien avec différents organismes sénégalais (dont l'ONG Enda). La mise en place et le suivi de l'opération, ensuite, ont été confiés une entreprise de BTP locale.
Après quatre ans d'efforts conjoints, les travaux ont pu commencer. Lancés dans une partie de la ville déjà raccordée au réseau d'eau potable, ils profiteront à près de 6 000 personnes.
La coopération ne s'arrête pas là, puisque maintenant il s'agit de démontrer à la population l'intérêt de ces aménagements, et surtout de la sensibiliser aux enjeux sanitaires, par des réunions publiques et des distributions de prospectus. La santé reste l'objectif premier. En Afrique, selon les derniers chiffres de l'OMS, les maladies liées à un assainissement défectueux, à une mauvaise hygiène ou à de l'eau contaminée, tuent encore 115 personnes par heure.
Lancé en 2006, le projet de création d'un système d'épuration des eaux usées est entré dans sa phase opérationnelle. Les premiers coups de pioche ont été donnés début février pour des travaux qui devraient durer quatre mois.
Les services techniques lorientais ont assuré la conception initiale du projet en lien avec différents organismes sénégalais (dont l'ONG Enda). La mise en place et le suivi de l'opération, ensuite, ont été confiés une entreprise de BTP locale.
Après quatre ans d'efforts conjoints, les travaux ont pu commencer. Lancés dans une partie de la ville déjà raccordée au réseau d'eau potable, ils profiteront à près de 6 000 personnes.
La coopération ne s'arrête pas là, puisque maintenant il s'agit de démontrer à la population l'intérêt de ces aménagements, et surtout de la sensibiliser aux enjeux sanitaires, par des réunions publiques et des distributions de prospectus. La santé reste l'objectif premier. En Afrique, selon les derniers chiffres de l'OMS, les maladies liées à un assainissement défectueux, à une mauvaise hygiène ou à de l'eau contaminée, tuent encore 115 personnes par heure.