21/05/2010 21:19 GMT
Dakar, 21 mai (APS) – La Société africaine de raffinage (SAR) a dépensé en 2003 250 millions de francs CFA destinés au traitement des eaux tirées de ses activités, pour se mettre ainsi en conformité avec le Code de l’environnement, a révélé, vendredi à Dakar, son directeur conseiller Lamine Badio.
"250 millions ont été investis pour la gestion des eaux usées, en 2003, pour conformité au code de l’environnement", a déclaré Lamine Badio, au cours d’une visite des parlementaires environnementalistes de la sous-région au niveau des installations de la SAR.
Accompagné de journalistes, les parlementaires de la Guinée, de la Guinée-Bissau, du Cap-Vert, de la Sierra-Leone, de la Gambie et de la Mauritanie participent depuis le 19 mai à un atelier de renforcement de capacités dans les domaines de la pêche, des hydrocarbures et de la gestion de la mangrove.
Initiée par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), cette visite leur a permis de mieux appréhender les réalités de cette usine de raffinage.
Pour mieux respecter le Code de l’environnement, la SAR a installé "un puits piézométrique pour des contrôles périodiques de la nappe phréatiques contre la pollution, un système de dépollution systématique" et mis en place "un système de surveillance des pipelines", a indiqué M. Badio.
"Nous sommes souvent victimes d’agressions de la part de malfaiteurs, qui percent les pipelines et exposent au danger les populations", a souligné le directeur conseiller, après la projection d’un film de sensibilisation sur le danger que représente le perçage des pipelines.
Au cours de la visite, les journalistes ont pu noter l’existence les mesures de sécurité mises en œuvre dans cette zone à haut risque. "Nous sommes obligés de gérer des risques permanents en tant que industriels, c’est une usine à feux permanents", a commenté Lamine Badio.
Dakar, 21 mai (APS) – La Société africaine de raffinage (SAR) a dépensé en 2003 250 millions de francs CFA destinés au traitement des eaux tirées de ses activités, pour se mettre ainsi en conformité avec le Code de l’environnement, a révélé, vendredi à Dakar, son directeur conseiller Lamine Badio.
"250 millions ont été investis pour la gestion des eaux usées, en 2003, pour conformité au code de l’environnement", a déclaré Lamine Badio, au cours d’une visite des parlementaires environnementalistes de la sous-région au niveau des installations de la SAR.
Accompagné de journalistes, les parlementaires de la Guinée, de la Guinée-Bissau, du Cap-Vert, de la Sierra-Leone, de la Gambie et de la Mauritanie participent depuis le 19 mai à un atelier de renforcement de capacités dans les domaines de la pêche, des hydrocarbures et de la gestion de la mangrove.
Initiée par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), cette visite leur a permis de mieux appréhender les réalités de cette usine de raffinage.
Pour mieux respecter le Code de l’environnement, la SAR a installé "un puits piézométrique pour des contrôles périodiques de la nappe phréatiques contre la pollution, un système de dépollution systématique" et mis en place "un système de surveillance des pipelines", a indiqué M. Badio.
"Nous sommes souvent victimes d’agressions de la part de malfaiteurs, qui percent les pipelines et exposent au danger les populations", a souligné le directeur conseiller, après la projection d’un film de sensibilisation sur le danger que représente le perçage des pipelines.
Au cours de la visite, les journalistes ont pu noter l’existence les mesures de sécurité mises en œuvre dans cette zone à haut risque. "Nous sommes obligés de gérer des risques permanents en tant que industriels, c’est une usine à feux permanents", a commenté Lamine Badio.