Dakar, Sénégal - Le Mouvement contre les armes légères en Afrique de l'ouest (MALA0), en partenariat avec des organisations de la société civile dont Présence chrétienne et SOS Equilibre, a lancé lundi à Dakar une semaine d'action contre la violence armée jusqu'au 16 mai.
Cette initiative, lancée pour la première fois en 2001, vise à arrêter la prolifération et l'utilisation abusive des armes légères, à sensibiliser et à faire campagne pour une meilleure législation sur les armes et à pousser au renforcement de la réglementation du commerce mondial des armes.
Plusieurs activités figurent au programme de la semaine, notamment des conférences et une animation communautaire sur le Traité sur le commerce des armes (TCA).
Une journée de destruction d'armes remises volontairement et une randonnée pédestre sont également prévues vendredi en Casamance (sud), précisément dans la commune de Samine, dans la région de Sédhiou.
Les thèmes de la violence armée et des droits des enfants, les violences faites aux femmes, seront aussi abordés durant cette semaine.
Ces activités visent l'application de la Convention de la CEDEAO sur les Armes légères de petits calibres (ALPC), leurs munitions et autres matériels connexes, entrée en vigueur depuis septembre 2009 dans le cadre d'un projet sous-régional contre les armes légères de petit calibre, impliquant la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau et le Sénégal.
Selon le directeur exécutif du MALAO, Honoré Georges Ndiaye, cette semaine entre en droite ligne dans le processus de mise en oeuvre de la Convention de la CEDEAO et l'harmonisation de notre législation nationale en rapport avec les engagements internationaux du Sénégal.
Le choix de la localité de Samine se justifie par le fait que c'est un lieu qui a connu beaucoup de mouvements armés depuis les années 1960 où plusieurs combats ont été enregistrés.
Faisant la situation sur la violence armée à travers le monde, M. Ndiaye a souligné l'urgence d'un TCA fort compte tenu de la recrudescence de la violence armée qui, souligne-t-il, tue plus de 700.000 personnes par an et en blesse sévèrement plus d'un million dans le monde.
Dakar - Pana 11/05/2010
Cette initiative, lancée pour la première fois en 2001, vise à arrêter la prolifération et l'utilisation abusive des armes légères, à sensibiliser et à faire campagne pour une meilleure législation sur les armes et à pousser au renforcement de la réglementation du commerce mondial des armes.
Plusieurs activités figurent au programme de la semaine, notamment des conférences et une animation communautaire sur le Traité sur le commerce des armes (TCA).
Une journée de destruction d'armes remises volontairement et une randonnée pédestre sont également prévues vendredi en Casamance (sud), précisément dans la commune de Samine, dans la région de Sédhiou.
Les thèmes de la violence armée et des droits des enfants, les violences faites aux femmes, seront aussi abordés durant cette semaine.
Ces activités visent l'application de la Convention de la CEDEAO sur les Armes légères de petits calibres (ALPC), leurs munitions et autres matériels connexes, entrée en vigueur depuis septembre 2009 dans le cadre d'un projet sous-régional contre les armes légères de petit calibre, impliquant la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau et le Sénégal.
Selon le directeur exécutif du MALAO, Honoré Georges Ndiaye, cette semaine entre en droite ligne dans le processus de mise en oeuvre de la Convention de la CEDEAO et l'harmonisation de notre législation nationale en rapport avec les engagements internationaux du Sénégal.
Le choix de la localité de Samine se justifie par le fait que c'est un lieu qui a connu beaucoup de mouvements armés depuis les années 1960 où plusieurs combats ont été enregistrés.
Faisant la situation sur la violence armée à travers le monde, M. Ndiaye a souligné l'urgence d'un TCA fort compte tenu de la recrudescence de la violence armée qui, souligne-t-il, tue plus de 700.000 personnes par an et en blesse sévèrement plus d'un million dans le monde.
Dakar - Pana 11/05/2010