Mersi, mais je veu que tu mette mon nom et pa le tien.
J'ai di que je veu pas des hommes ici.
allez, ouste, waay !
(Comme j'apprend vite le wolof, kaar !)
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Man Nit Ki a écrit: il faut rekk que je terrorise un peu les filles, xamal léén que j’ai plus de "passé" et de "futur" qu’elles. Fondé paaj, ak balcons yu baax.
Prowocation ou attentat à la pudeur kwa, je connais beaucoup de garcons du forum qui n'arrêteront plus d'en rêver; mais nak attention au Dof dé.Man Nit Ki a écrit:Naginaa, il faut rekk que je terrorise un peu les filles, xamal léén que j’ai plus de "passé" et de "futur" qu’elles. Fondé paaj, ak balcons yu baax. De puis, j’ai les "colts" bien chargés. Ku ci déconné rekk, ma dégainé.
Nemam, bañ maa moytu rekk !
Nemam yaa wakh lolou ay bou nieuwééééééNemam a écrit:Man Nit Ki légui dagua deg wolof motakh gay napaté je t'attends et puis ton Dof ne t'a rien écrit tu copie ses poémes et tu dis qu'il te les a adressé
Man Nit Ki a écrit:
Damisco, tu commences à me plaire.
Nemam a écrit:j'ai peur que ça soit toi qui risque d'appeler ce pauvre farba
N'en dis pas trop, mon mari est jaloux.Damisco a écrit:Man Nit Ki a écrit:
Damisco, tu commences à me plaire.
merci.tu me plais déja.
Man Nit Ki a écrit:N'en dis pas trop, mon mari est jaloux.Damisco a écrit:Man Nit Ki a écrit:
Damisco, tu commences à me plaire.
merci.tu me plais déja.
Man Nit Ki a écrit:Wooy sama ndey !
Damisco, lor nga ma !
Sama dof bi fase na ma.
Il m'a répudiée.
Man Nit Ki a écrit:Wooy sama ndey !
Damisco, lor nga ma !
Sama dof bi fase na ma.
Il m'a répudiée.
Man Nit Ki a écrit:
Wóóy ! Fu ma jëm ?
Exellente rédactrice et trés bonne inspiration Macha allahMan Nit Ki a écrit:
Un autre jour, je rentrais de Bambey. Des traces de pas captèrent mon attention. Je les examinai et reconnus le passage d’une lionne. Je regardai de plus près, considérant les écartements des pattes, la profondeur des traces, et en déduisis qu’il s’agissait d’une lionne lourdement enceinte. Dès mon arrivée à Battal, je déclarai :
- Il y a dans les parages, une lionne sur le point d’accoucher. Je ne l’ai pas rencontrée, mais j’ai bien vu ses traces de pas.
Tout le monde se mit à rire.
- Ah ! Yow Nit Ki, il n’y a que toi pour raconter de telles histoires. Cela fait presque dix ans qu’on n’a pas vu un lion dans la région. A peine une hyène. En outre, les lionnes se déplacent en groupe. Comment se fait-il que celle-ci soit seule ?
- Je vous ai dit qu’elle est enceinte. Elle s’est sans doute séparée de ses compagnes pour chercher un endroit où mettre bas.
- Elle s’est égarée ! ironisa quelqu’un.
Je ne dis rien, sachant que certains me prenaient pour une folle. Je m’en allai, les laissant conjecturer. Le lendemain, je me procurai un fusil de chasse.
Des jours passèrent sans problème. De temps en temps, quelqu’un demandait : « Où est donc la lionne de Moom Nit Ki ? » Et tout le monde éclatait de rire.
A l’époque, les habitants de Battal étaient des agriculteurs, mais aussi des éleveurs. Chaque famille avait son troupeau de bétail. Je possédais une vingtaine de bovins. Ma vache préférée, je l’avais appelée Arame, du nom de ma mère. Nul n’osait toucher à un poil de cet animal.
Un beau matin, on trouva, gisant dans les champs, la carcasse d’un mouton.
- Je vous avais bien dit qu’une lionne traîne dans les parages, fis-je.
- Ah ! Yow Nit Ki, arrête avec tes histoires de lionne ! Ce mouton a sans doute été dévoré par des chacals ou des hyènes.
Je ne dis rien.
Quelques jours plus tard, ce fut un autre mouton, puis une chèvre, et ainsi de suite. Un soir, un jeune berger déclara avoir aperçu une lionne dans les champs. Les hommes furent obligés de se rendre à l’évidence. Ils se réunirent et décidèrent de me consulter.
- Que devons-nous faire ? Nous ne pouvons pas laisser cette lionne rafler notre bétail.
- Vous vous moquiez de moi, n’est-ce pas ? répondis-je. Allez donc, sans moi, débusquer votre lionne. Elle ne m’a encore rien fait, mais le jour où elle touchera une de mes vaches, elle saura qui je suis.
Personne n’osa agir, et la lionne eut de beaux jours devant elle.
On en arriva à garder les troupeaux dans des enclos. Seul le mien allait pâturer où il voulait.
Les habitants de Battal se souviennent encore de ce mardi matin, quand Farba entra dans le village en courant et cria : « Elle a tué Arame ! Elle a tué Arame ! »
Allez à Battal, et n’importe qui vous fera le même récit :
« C’était le matin, de très bonne heure. Les bêtes broutaient tranquillement l’herbe humectée de rosée. La lionne était tapie dans les hautes herbes. Un taureau détecta sa présence et lança un beuglement d’alarme. Les bovins s’éloignèrent de quelques mètres et le troupeau se scinda en deux. La lionne sortit de sa cachette. Farba prit ses jambes à son cou. Arame qui était dans le groupe de droite, décida d’aller rejoindre celui de gauche où se trouvait son veau. Ce fut lors de cette traversée, que la lionne chargea et la culbuta. De loin, Farba vit la grande féline mordre la vache à la gorge pour l’étouffer. »
Tous les regards étaient tournés vers moi. Je ne laissais rien paraître des pensées et sentiments qui m’animaient. Chacun se demandait ce que j’allais faire. Je me rendis sur la place du village et demandai s’il y avait quelqu’un pour jouer au wure avec moi. Les gens, étonnés, me dirent :
- Et ta vache préférée que la lionne vient de tuer ?
Je répondis calmement :
- Il faut bien qu’elle mange, cette lionne, et qu’elle nourrisse ses petits.
Ma mère n’était pas rassurée par ces paroles. Elle entra dans ma case, prit mon fusil et le cacha. « Si elle n’a pas de fusil, elle n’ira pas affronter une lionne », pensait-elle. Elle me connaissait mal. De temps en temps, elle disait à Farba d’aller voir ce que je faisais. Farba sortait, et retournait avec la même phrase : « Elle est en train de jouer au wure. »
J’étais une bonne joueuse de wure, mais je ne gagnai, ce jour-là, aucune partie. Au bout d’un moment, je décidai de rentrer chez moi. Dans ma case, je ne pus trouver mon fusil. Je ne dis rien. Je s’allongeai sur son lit, faisant semblant de dormir. Quand j’entendis ma mère s’affairer dans la cuisine, je me levai et sortis. Je n’avais que mon couteau avec moi. J’allai dans les champs, trouvai les traces de pas de la lionne et les suivis.
C’était l’après-midi. Le climat était torride. La lionne dormait, avec ses deux petits, dans une espèce de grotte, une tanière où ils étaient à l’abri du soleil, de la pluie et du vent. Digestion oblige.
Cette lionne venait de commettre un sacrilège : tuer Arame, ma vache préférée. Immense était ma rage.
La lionne, rassasiée, était dans un profond sommeil. J’étais devant elle, et elle ne m’avait ni vue, ni entendue, ni sentie. Les deux lionceaux roupillaient à côté de leur mère…
Pour lui faire comprendre ce que c’est que de perdre des êtres chers, je pris un lionceau et l’égorgeai, pris l’autre et l’égorgeai aussi. Les deux corps inertes gisaient par terre, chacun dans sa flaque de sang. La lionne au ventre plein dormait toujours. Je ne voulais pas l’attaquer en lâche et la tuer par surprise. Je me tins devant elle et envoyai un coup de pied à son ventre bedonnant. Effarouchée, elle bondit et se sauva, le temps de reprendre ses esprits. Les choses devenaient sérieuses. Je fis quelques pas en arrière et me mis en position de combat, le poignard à la main. La lionne lança un appel auquel ses petits ne pouvaient répondre. Elle s’approcha d’eux et les renifla. Ils étaient bien morts. Ce fut alors, que je compris que j’avais pris ma revanche. Sa douleur était grande, insoutenable. J’avais même l’impression qu’elle pleurait. Elle recula et se mit à vomir, comme si elle avait besoin d’avoir faim pour me dévorer. Moi, je n’avais plus rien à perdre, j’avais déjà ce que je voulais. Nous nous regardions droit dans les yeux. L’attaque ne se fit pas attendre. Nous nous ruâmes l’une sur l’autre. Pendant qu’elle cherchait à atteindre ma gorge, la lame de mon poignard entra dans son flanc. Cela l’affaiblit, mais elle réussit à me faire perdre l’équilibre. Je pus quand même passer mon bras autour de son cou, et l’entraîner dans ma chute. Nous nous écroulâmes par terre. Je sentis que ma cuisse était ouverte. Mon sang coulait presque autant que le sien. Lutte inexorable. Une de nous deux devait y laisser sa peau. Dans ce rude combat, je pris le dessus. J’avais réussi à me placer derrière la lionne, horizontalement à califourchon, mes jambes croisées autour de son ventre. L’un de mes bras sous ses pattes de devant, l’autre autour de son cou, j’essayais de l’étrangler. Elle ne pouvait ni me mordre ni me griffer.
Pendant ce temps, ma mère qui s’apprêtait à servir le repas, entra dans ma case. Ne m’y trouvant pas, elle sortit le fusil et cria :
- Farba ! Farba ! Prends vite ce fusil et va secourir ta soeur!
Quand Farba arriva, nous étions, la lionne et moi, toutes deux épuisées, couchées sur le flanc. Je ne pouvais me permettre de la lâcher, quand bien même elle ne cessait de se débattre. Farba, ahuri, se tint au loin et appela :
- Yow Nit Ki !
Approche-toi ! lui dis-je. N’aie pas peur ! Je ne peux pas bouger, elle non plus. Viens tout près de nous et vise bien. Tout ce qui est noir, c’est moi, et tout ce qui est marron, c’est elle. Il s’approcha, tira, et le fit bien.
Lorsque la nouvelle parvint au village, le vieux Mayékor s’exclama : « Je vous l’avais dit ! Cette fille n’est pas un être humain ! » Et il le répéta jusqu’à son dernier jour.
Ce n’était pourtant que le début de mes aventures.
Les hommes ont tellement peur de moi que seul un dof a osé demander ma main.
Donc les filles, vous voilà averties. Vous pouvez éditer vos posts (que je n'ai pas encore lus. ) pendant qu’il est encore temps.
Foofu laay yem nak.
Nemam et Hodei, gare à vos fesses !
En tout cas mane genrou zeina la guérrière la ma diokh donc moytoul mou karla, dorla, gaagne la (et puis n'oublie pas son Dof de mari nak) , mane dé doumako tognati moukNemam a écrit:Naginaa kidale théorie la meune
Nemam a écrit:Damisco sagnegua wkhli dou yatakh ba seuyeum tass
wékh beut weu!!!!!!!!!!!!!!!!! kaylaaaaaaaaaaaaaaaaDamisco a écrit:Nemam a écrit:Damisco sagnegua wkhli dou yatakh ba seuyeum tass
Nemam bou ma dougal.man j'ai juste apprecier son"guinaw".Apres ,elle reviens pour me dire qu'on la repudiée.xalasss
Pour mon cas t'inquiétes, j'épouserais pas un fouMan Nit Ki a écrit:Maintenant, il veut épouser Naginaa ou Mamediarra.
Je me doutais bien de quelque chose.
Wóóy ! Fu ma jëm ?
Naginaa a écrit:
wékh beut weu!!!!!!!!!!!!!!!!! kaylaaaaaaaaaaaaaaaa
Toi daal, je ne savais pas que tu faisais partie de mes noon.Naginaa a écrit: Pour mon cas t'inquiétes, j'épouserais pas un fou
Mais attention a Kayla et Fatim
Man Dofbi a écrit:
Cubana et Citoyenne me semblent trop révolutionnaires, mais j'ai toujours le fusil de mon grand-père.
:arrow1:
Man Dofbi a écrit:Toi daal, je ne savais pas que tu faisais partie de mes noon.Naginaa a écrit: Pour mon cas t'inquiétes, j'épouserais pas un fou
Mais attention a Kayla et Fatim
Que tu ne veuilles pas de moi, c'est ton droit, mais ne va pas chercher pour moi.
Kayla est ma jarbaat, l'epouser serait incestueux. Euh... quoique... Mais je veux la vendre à un bon prix pour finir mon château en Espagne.
Quant à Fifinette, tu sais bien que même le dof que je suis n'en veut pas. Laissons-la à Petit Thiam. Elle est presque aussi inépousable (est-ce que le mot existe? hahaha) que Hodei et Nemam.
Propose-moi Coumbisse, sama lingeer,
ou
Aissata Diallo, la nouvelle. Curiosity killed the cat.
Aissatou, Aita, Aïcha, Bebeaïcha, que de noms pour les nouvelles de Nemam. Non, je n'en veux pas, je risque de les confondre.
Tyf et bint0705 sont des bébés, mais je saurais leur apprendre la vie... à Fann.
Cubana et Citoyenne me semblent trop révolutionnaires, mais j'ai toujours le fusil de mon grand-père.
Roses semble bien me convenir, mais j'ai l'impression qu'elle en demanderait trop. Son "S" final m'inquiéte.
Salamata par contre et sistersandrine, ñii ñooy samaxol.
Waaye ndaxam de, Sita soofu ma. Rama76, waxi noppi.
Quant à Marie, il ne reste plus qu'à marier. Am deet ?
Mais nak, Yaay Ouly, kenn du dem ba ko. Xaaral sax ma mp ko benn déclaration.
Mounass moom, xam naa ne man rekk lay xaar. Ne ko, j'arrive, avec une bague.
Pourtant Mamediarra et Honey ne sont pas à exclure de la liste.
Neel tekk ma daw balaa ñoom Sasi, San, mouche tsetse ak Vanessa di ma fi fekk.
yaw daal dangay dof dof lou rék, comment as tu fait pour remarquer toutes ces filles dans le forum??? Et puis cette analyse pertinente ???? Avec quel médicament on t'a traitéMan Dofbi a écrit:Toi daal, je ne savais pas que tu faisais partie de mes noon.Naginaa a écrit: Pour mon cas t'inquiétes, j'épouserais pas un fou
Mais attention a Kayla et Fatim
Que tu ne veuilles pas de moi, c'est ton droit, mais ne va pas chercher pour moi.
Kayla est ma jarbaat, l'epouser serait incestueux. Euh... quoique... Mais je veux la vendre à un bon prix pour finir mon château en Espagne.
Quant à Fifinette, tu sais bien que même le dof que je suis n'en veut pas. Laissons-la à Petit Thiam. Elle est presque aussi inépousable (est-ce que le mot existe? hahaha) que Hodei et Nemam.
Propose-moi Coumbisse, sama lingeer,
ou
Aissata Diallo, la nouvelle. Curiosity killed the cat.
Aissatou, Aita, Aïcha, Bebeaïcha, que de noms pour les nouvelles de Nemam. Non, je n'en veux pas, je risque de les confondre.
Tyf et bint0705 sont des bébés, mais je saurais leur apprendre la vie... à Fann.
Cubana et Citoyenne me semblent trop révolutionnaires, mais j'ai toujours le fusil de mon grand-père.
Roses semble bien me convenir, mais j'ai l'impression qu'elle en demanderait trop. Son "S" final m'inquiéte.
Salamata par contre et sistersandrine, ñii ñooy samaxol.
Waaye ndaxam de, Sita soofu ma. Rama76, waxi noppi.
Quant à Marie, il ne reste plus qu'à marier. Am deet ?
Mais nak, Yaay Ouly, kenn du dem ba ko. Xaaral sax ma mp ko benn déclaration.
Mounass moom, xam naa ne man rekk lay xaar. Ne ko, j'arrive, avec une bague.
Pourtant Mamediarra et Honey ne sont pas à exclure de la liste.
Neel tekk ma daw balaa ñoom Sasi, San, mouche tsetse ak Vanessa di ma fi fekk.
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