[POESIE] Le Paradis Des Amoureux Des Strophes !

Rappel du premier message :

C'est ici le Paradis des poètes du forum ! Lâchez votre encre.....
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Je vous fais part donc d'une de mes publications personnelles !
Dites moi ce que vous en pensez !
C'est vrai que je ne me contrains pas trop sur le respect sans condition de la mesure sur les 12 (alexandrins) mais avec mon style de vers plus ou moins libres (plus simple d'ailleurs) je crois avoir fait ressortir mes sensations et sentiments !
Toujours est-il que c'est vous les juges !!
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Allons voir les vagues

Je te rends ta mèche
Mignonne, viens, je t'amène à la pêche
Nous prendrons témoin l'autel des vagues
Là, sous ce silence loquace je t'enfilerai ta bague

Ô voleuse ! Laissons-la dérober le sable sous nos pieds
Cette eau si inoffensive, à nous, ne peut se fier
Déroulant sous nos silhouettes un tapis ondulé,
Comme toi elle cherche à être adulée

Mignonne, grimpe, là-haut, sur le toit de tes douceurs
Positionne tes flèches et, je t'en supplie, vise mon cœur
Ma vie, n'est-ce pas, comme la tienne
Souffre et souhaite le bonheur que de la nuit advienne

THIAM Babel
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Il y a des paroles mouillées dans l'air
Baignées du salpêtre des mers.
Des mots marins et leurs odeurs de barques.
Une éphémère vague atlantique caressant
Les sables dorés du soleil des enfants.
Il y a la marée haute couvrant les rochers
Assourdissant les parlers de poissons.
Et la marée basse découvrant à nouveau
Les mille histoires de poulpes et murènes.
Il y a la joie du courant t'emportant
Hilarant à contre courant, sans façon.
On entend les cris avalés par l'eau
Et les rires fusent, à n'en plus finir
La peau?, elle transpire en jouant au ballon
Sur le sable frais quand la marée baisse.
Parfois on marche sur des petits goudrons
Par les bateaux lestés, voguant sur l'horizon
Il y a éparpillés des petits charbons
Alors nous dessinons, des petits coeurs
Ou des je t'aime et des mots d'amour.
Qu'est ce que tu es belle petite vague atlantique!!
Tu me le promets que tu reviendras ??

téa a écrit:Tout le monde dort chez moi
Tous sauf moi bien sûr
Dieu sait pourtant que j'ai sommeil
Tellement sommeil que la lumiére de l'écran me fait mal aux yeux
Mais Dieu sait pourtant
Que mon envie d'écrire est énorme
Je voudrai écrire à tous
Que je suis heureuse
Oui trés heureuse
Heureuse d'être avec vous
Heureuse de vous lire
De voir que ce monde n'est pas fait seulement d'opportunistes
d'ignorants et de vantards
Je suis heureuse d'évoluer à coté de gens instruits
Responsables et trés aimables
C'est un cri du coeur
Au plus profond
A cet instant de solitude
Aussi bien dans ma chambre que dans cet espace d'échange
Les poétes entendront
Et sauront à leur maniére
Interpréter convenablement
Je suis heureuse
Dans ma peau et dans ma tête
Grace à vous
Grace à ces mots en liaison avec l'âme
Pour tracer le chemin du paradis

6 fois heureuse.

C'est contagieux:

Ca m'a piqué mes souvenirs de plages. Les match de foot de 16:00 à 21:00.
On n'avait jamais le temps de finir le match.
On construisait aussi de murailles de sable humide pour empêcher l'atlantique de conquérir la plage. Et on lui lançait des boules de sable mouillées. Et dès que nous on partait, il détruisait nos murailles, à chaque marée haute, mais nous on recommençait toujours, à chaque marée basse.

Merci d'être heureuse, Téa

Rimes et cordes s'accordent, une à une, muettes encor
S'ajustent basses, murmurent cymbales, soufflent cors
Préparant, force tassée, le souffle chaud de l'Accord
Les triangles frémissent, et font vibrer les raccords
Les cuivres gémissent, rauques, et plantent le décor
Et du fond de la scène frissonnante, monte un cri albacore
Symphonie unique, qui unit cœurs, chœurs et corps...

Et le tourbillon nous prend dans son tore
Terrible, capiteux, dans sa tour d'ivoire et d'or.
Il déracine nos silences, il réveille la ville qui dort
Malstrom vivace qui engloutit vivants et morts,
Qui nous soulève, nous déstructure et nous tord...
La vague lyrique se déchaîne sur nos ports
Et les pécheurs, extatiques, s'y abiment et l'adorent...

La pluie tombe doucement
Toc toc ...toc toc
Il demarre sa voiture en trombe
Vroum vroum vroum
Il pleut des semences mortelles
Boum boum boum boum
Une branche se détache de l'arbre
Crac crac crac crac
Elle snobe ses amoureux
Snif snif snif snif..

Enveloppé dansdes pensées saines et absurdes, mon ambition etait d'effectuer un voyage initiatique au terme duquel je devrais retrouver le salut: l'ataraxie poétique. J'ai esayé d'être un mage pour pouvoir saisir l'essence des choses mais c'etait sans compte avec le chant doux et fou des mots.
Ces motsde tous les jours qu'on nous sert comme nourriture. Je me suis mis à rêver d'être un oiseau et comme tel, voyager de continent en continent, de saison en saison, pour porter le message aux élus. Mon rêve etait unique et poétique car, c'etit un rêve de bonheur, de salut pur, de quiétude interieure. Dans mon , la joie etait presente, grande, celle de comprendre les choses de la nature sans pour autant ouvrir le dictionnaire des sens pour retrouver leur profondeur. Dans les abysses de mon songe, je me nourrissais d'espoir: cet elan migrateur portant le sceau spirituel de la félicité.
Les vents d'est azurés traçaient des sillons eclairés par lesquels mon âme cherchait refuge. Dans les vastes prairies où l'herbe n'arrêtait pas de pousser, vivaient dans une parfaite harmonie, les parias au coeur endolori. Gisaient à côté de ces derniers des flammes à peine visibles qui se lamentaient du manque de bûches. La lune, pleine, eclairait la nuit enjolivée de son collier de diamants brillant et scintillant.
Tous ensemble, en choeur, nous chantions des berceuses qui allegeaient nos corps, nos coeur humides de désolation.

tchey nos poetes !!!

zeriézékiri a écrit:Enveloppé dansdes pensées saines et absurdes, mon ambition etait d'effectuer un voyage initiatique au terme duquel je devrais retrouver le salut: l'ataraxie poétique. J'ai esayé d'être un mage pour pouvoir saisir l'essence des choses mais c'etait sans compte avec le chant doux et fou des mots.
Ces motsde tous les jours qu'on nous sert comme nourriture. Je me suis mis à rêver d'être un oiseau et comme tel, voyager de continent en continent, de saison en saison, pour porter le message aux élus. Mon rêve etait unique et poétique car, c'etit un rêve de bonheur, de salut pur, de quiétude interieure. Dans mon , la joie etait presente, grande, celle de comprendre les choses de la nature sans pour autant ouvrir le dictionnaire des sens pour retrouver leur profondeur. Dans les abysses de mon songe, je me nourrissais d'espoir: cet elan migrateur portant le sceau spirituel de la félicité.
Les vents d'est azurés traçaient des sillons eclairés par lesquels mon âme cherchait refuge. Dans les vastes prairies où l'herbe n'arrêtait pas de pousser, vivaient dans une parfaite harmonie, les parias au coeur endolori. Gisaient à côté de ces derniers des flammes à peine visibles qui se lamentaient du manque de bûches. La lune, pleine, eclairait la nuit enjolivée de son collier de diamants brillant et scintillant.
Tous ensemble, en choeur, nous chantions des berceuses qui allegeaient nos corps, nos coeur humides de désolation.

Alllaaaaahhhh, Allaahhhhh

C'est pas beau ça, Mon Dieu!!!, tu me fais presque frôler le tarab.
Il faut prévenir avant, salopard, je vais léviter et sans préavis, la chute est dure.....

zalzal a écrit:

zeriézékiri a écrit:Enveloppé dansdes pensées saines et absurdes, mon ambition etait d'effectuer un voyage initiatique au terme duquel je devrais retrouver le salut: l'ataraxie poétique. J'ai esayé d'être un mage pour pouvoir saisir l'essence des choses mais c'etait sans compte avec le chant doux et fou des mots.
Ces motsde tous les jours qu'on nous sert comme nourriture. Je me suis mis à rêver d'être un oiseau et comme tel, voyager de continent en continent, de saison en saison, pour porter le message aux élus. Mon rêve etait unique et poétique car, c'etit un rêve de bonheur, de salut pur, de quiétude interieure. Dans mon , la joie etait presente, grande, celle de comprendre les choses de la nature sans pour autant ouvrir le dictionnaire des sens pour retrouver leur profondeur. Dans les abysses de mon songe, je me nourrissais d'espoir: cet elan migrateur portant le sceau spirituel de la félicité.
Les vents d'est azurés traçaient des sillons eclairés par lesquels mon âme cherchait refuge. Dans les vastes prairies où l'herbe n'arrêtait pas de pousser, vivaient dans une parfaite harmonie, les parias au coeur endolori. Gisaient à côté de ces derniers des flammes à peine visibles qui se lamentaient du manque de bûches. La lune, pleine, eclairait la nuit enjolivée de son collier de diamants brillant et scintillant.
Tous ensemble, en choeur, nous chantions des berceuses qui allegeaient nos corps, nos coeur humides de désolation.

Alllaaaaahhhh, Allaahhhhh

C'est pas beau ça, Mon Dieu!!!, tu me fais presque frôler le tarab.
Il faut prévenir avant, salopard, je vais léviter et sans préavis, la chute est dure.....

Merci Zalzal mais au lieu de chuter il faut plonger

Les clairons de la joie sonnent
l'appel à venir bourdonne
Et le temps nous talonne.

Des prairies s'ouvrent à nous
Des arbres écartent leurs branches
Et nous serrent par nos hanches
Et nous embrassent de par tout.

Des lézards se lèvent et appellent
Des oiseaux qui sans pleurs, répondent
Et se parlent et discutent et s'aiment
Et jouent devant nous de rien et de tout.

De l'eau qui jaillit du profond de la terre
Des sources infinies, le bonheur au bout
Et les cascades rugissent leurs larmes de joie
Et les rivières pleurent leurs limons sans vouloir.

Appel à plonger dans la félicité inconnue
Appel à entendre les voix des coeurs nus
Appel à chanter leurs douleurs disparues
Appel à rejoindre les choeurs à voix nues

Les arbres ont mille yeux qui regardent
Des yeux qui font le vent quand ils observent
Et l'ombre quand ils restent grands ouverts

Les arbres viennent d'en haut
Pour s'unir avec la terre
Ils fuient les Dieux des Cieux,
Leurs complots et leurs guerres.

Ils se jettent des nuages et chutent comme des lances
C'est par leurs pieds que dans la terre ils s'enfoncent.
Ils s'y trouvent aliment, sang obscur sang à grumes
Sang de vie, sang de sève, lait de sève, sève de mûres.

Les pieds de sang au fonds de la terre
Les têtes de sève qui pointent le ciel
Les yeux de feuilles qui lorgnent les airs
Les bras de branches qui saignent du miel.

Les arbres ne naissent pas de la terre
Les arbres sont nés dans le ciel
Comme les tonnerres

Je lis ton poème et à l'instant je pense le contraire, comme un problème. Car le vent ne souffle plus et les oiseaux se sont tus. Le soleil a saigné, et l'homme par la femme s'est éteint. Le chômage rends malade sans ordres (travail) à exécuter. La nuit est mouvementée, l'âme ne se déshabilles plus, les cauchemars attendent entre les draps. Et le cadavre, se gèle nu, sans feuille qui le couvre.
Et sans cordon imprégné il cri à sa liberté. Et sa conscience ne marque plus un seul instant de bonheur, étouffée par ce trop plein qui la met pas en fumée mais qui la fait partir en feu.
Et au même temps ton poème m'aide à m'en débarrasser et resurgir...

Et moi à te lire,j'ai envie d'être utile.J'ai jamais vu ton moral aussi noir.J'ai toujours connu un Zalzal avec une humeur au zénith au point de penser qu'il n'ya plus heureux que toi dans ce monde.Et c'est comme çà que je voudrai demeurer avec toi ici.Alors reste pulpeux,tu feras des heureux et surtout des heureuses.

Merci pulpeuse!

20 zero a écrit:Malgré ma tres grande tristesse
Et malgré mon désarroi si epaisse
Je reconnais du fond du cœur
Que tes mots ont apaisé mes pleurs

Je ne peux pas m’empecher
De me rappeler de jour premier
Où nos paroles se sont mélées
Pour donner sens a la vie en privée

De meme je ne peux oublier
Ta voix si douce et si bien impregnée
Quand au telephone tu m’as parlé
Avec une assurance surement innée

Je serai aussi marqué a jamais
Par ta beauté non moins exprimée
Dans ton regard et ce joli sourire
Sans doute ton arme pour seduire

J’ai manqué une vraie chance
D’enterrer a jamais ma souffrance
Je sais que j’aurai trouvé en toi
La femme ideale mais moi
Je suis un perdant je le sais
Alors pas question d’un autre essai

Je suis convaincu jeune fille
Et je vois dans ton astre qui brille
Qu’un jour tu sera tres heureuse
De perdre une personne si affreuse
Tu seras joyeuse et tres contente
Quand le bonheur t’ouvrira ses portes
Le jour que tu rencontreras enfin
Le prince charmant sur ton destin

Je ne cesserai pas de prier pour toi
Comme tu l’as toujours fait pour moi
Pourque tu aies dans ta vie
Tout ce dont tu auras envie

Je prierai aussi le Seigneur
De m’offrir pour mon bonheur
Ton amitié si sincere pour toujours
Afin que je m’eclaire nuit et jour

Je suis conscient de ton poids
Sur les decisions de mon choix
Sans toi je resterai a jamais
Le malheureux que j’ai toujours été

Et de un.Emouvant

20 zero a écrit:Et pour une fois
Je ne ferai pas de rime
C’est le desordre dans ma tete
Et la tristesse dans mon cœur
C’est la honte qui m’envahit
Et le desespoir me tient compagnie
Y’a de ces jours
Où l’on a qu’une envie
Mourir
Mourir pour ne plus subir
L’epreuve parfois capitale
De ce monde fait pour les autres
Ce monde qui tout le temps
Me sourit des ses jolies dents
Profite de mon sommeil
Pour poser son fardeau sur ma tete
Il me reveille au milieu de la nuit
Pour discuter seul avec moi
Me privant de sommeil toute la nuit
Et quand le jour arrive
Il remplit mon ventre
M’empechant d’avoir gout
Aux repas pourtant si delicieux
Que je me prepare moi-même
Sans aucune aide
Ce monde que je voudrai cherir
Me pousse sans cesse a le detester
Y’aura surement un vainqueur
Mais je n’ai aucun espoir
Meme si je resiste encore
A cette tentation absurde
Qui traverse souvent mon esprit

Cà change tout.Désespoire total

20 zero a écrit:Enfin mon amie je l’ai retrouvé
Aujourd’hui elle m’a ecrit
Un message qui m’a appris
Que je peux compter sur son amitié

Me voici donc bien heureux
Et cela pour toujours
Car il n’y aura plus un jour
Où je n’irai prendre ses aveux

Je lui confierai mes secrets
Je chercherai ses conseils
Je lui tendrai mes oreilles
Je lui ferai etat de mes regrets

Elle aura tout mon respect
Elle m’aura toujours a ses cotés
Elle verra ses actes agréés
Elle aura son service au complet

Je me leverai a sa venue
Elle aura la place magique
Je lui servirai de l’exotique
Elle recevra tout son dû

L’amitié de nos jours
Qui lie etroitement les cœurs
Par sa force et sa grandeur
N’a rien a envier a l’amour

Cette chose parfois cruelle
Et souvent triste a la fin
Ne merite pas ce festin
Car sa promesse est virtuelle

Grace a toi j’ai pu gouter
A la vraie valeur de la vie
En communauté et unie
Pour ne citer que ce fait

Merci pour le passé
Merci pour l’avenir
Merci de me soutenir
Merci pour ton amitié

Mamediarra doit être heureuse

20 zero a écrit:Thiam swi pli kontang.apres ton coup de main tu mets aussi ton coup de plume.amoo moroom.quoi qu'est ce que je dis là? je bois du jus d'orange et je reviens.

Nemam,laisses moi te signaler que mon amie a moi j'aurai jamais honte de la citer publiquement.

Fatim tu chercheras de midi au soir mais tu ne pourras jamais deviner,car au fond je ne la merite pas

Kayla,séddal xolam,c'est tout ce que je souhaite.apres lui avoir causé tant de mal.
Mame merci d'avoir senti autant de tristesse que moi.

Au moins;il faut alterner

En
homme pressé de voir son oeuvre aboutir comme si le temps lui était
compté, je m’en vais vous faire part le compte rendu d’un coeur
solitaire qui voudrait juste vous dévoiler son intériorité d’un instant
mais aussi et surtout pour que vous lui soyiez solidaires .

Me
reveillant de grands-matins pour aller respirer l’air frais de l’aube
comme le faisait grand-père dont je suis sur les traces mais loin de
les retrouver; je me suis recroquevillé comme un mort pour apprecier à
sa juste valeur un évènement dont j’etais le seul et privilégié temoin.



Un
scorpion, tuant sa proie avec son dard avant de se mettre à réflichir
sur peut être comment la consommer et quelques instants après changeant
d’avis, il retourna ses pinces contre lui-même et s’injecta à son tour
une dose mortelle. Seul devant ce spectacle d’une noblesse absolue, je
me suis mis à réfléchir sans même bouger d’un hiatus, sur ce spectacle,
ce double crime, cette merveille. Je me suis mis à apprecier ce
spectacle qui frôlait la perfection de par sa splendeur ; et du coup,
j’ai pensé à cette loi de Dame Nature qui me rappelle celle de la
jungle où les faibles sont les victimes expiatoires des grands et
forts..



Le
temps passait et seul dans mon étonnement , je me suis mis à réfléchir
sur moi-même et sur tout ce qui m’entourait pour en arriver à la
conclusion que nous sommes tous des criminels passifs, car s’etait
soudain éveillée en moi cette passion du spectacle où les autres sont
les victimes. L’eau de la pluie qui venait de reprendre me chantait
l’hymne de l’hypocrisie pour me signifier en même temps que la vie est
ainsi faite.

Finalement,
je n’ai pu ne pas me résoudre d’avoir honte de moi-même de mon attitude
face à cette tragédie d’une noblesse absolue où le scorpion a bu le
calice jusqu’à la lie.

Mais ,
je me suis consolé en passant que nous étions tous pareils .

Toutefois,
j’ai fini aussi par accpté que l’égoïsme est la principale qualité de
l’homme du moment que les grands marre à bouts se trimbalent avec une
horde de cinquante femmes légales et legalisées alors que le jeune moine
s’adonne aux plaisirs solitaires avec les exploits de ses mains sous la
soutane.Quelle beauté cette Manuela!



Je
me suis juste dis après tout que cette vie n’est pas plus qu’un
spectacle .Chacun passe, monte sur scène et joue sa partition avant de
disparaitre pour laissez le champ à d’autres .



Seulement,
certains n’ont pas compris et n’arriveront jamais à comprendre cette
imperfection de l’Etre. Cette humanité si humaine par ses basseses
qu’elle essaye de cacher pour appaître meilleure.



Ce
paresseux avec son harem et sa horde de moutons de panurge qui passe
tout son temps à sautiller et à bêler à qui mieux mieux pour annoncer la prophétie de
l’idiotie.Cette crise que certains qualifient de: économique ,
politique, sociale, ou je ne sais quoi d’autre comme terme n’est rien
d’autre que celle de la raison. Cette faculté qui fait de nous des
êtres supérieurs , si bien entendu on en use à bon escient, mais qui
nous rend débiles et serviles si on la laisse en veilleuse, préferant
laisser les autres penser à notre place.

Ainsi,
devenus automates , on obeit comme des machines à sous.
Les directeurs
de conscience bâtissent leur royaume et leur influence sur l’aliénation
de l’homme qui lui même se laisse aliéner.

Les questions que tu te pose, et les conclusions auxquelles tu arrives sont celles d'un homme qui approche les dernières marches vers l'illumination. Elles nous révèlent quelquefois l'absolue absurdité de la conscience humaine, qui, pour garder un semblant de cohérence interne, est prêt à toutes les compromissions.

L'homme ne survit que parce qu'il est absurde. S'il ne l'était pas, il aurait agi comme le scorpion.

lyncx a écrit:Les questions que tu te pose, et les conclusions auxquelles tu arrives sont celles d'un homme qui approche les dernières marches vers l'illumination. Elles nous révèlent quelquefois l'absolue absurdité de la conscience humaine, qui, pour garder un semblant de cohérence interne, est prêt à toutes les compromissions.

L'homme ne survit que parce qu'il est absurde. S'il ne l'était pas, il aurait agi comme le scorpion.

Je suis tout à fait d'accord sur l'absurde comme etat de fait. Une question : quid de l'illumination?

L'état dans lequel se trouve celui qui a réussi à comprendre l'homme, et à l'excuser. Illumination n'est pas forcément égale à béatitude, plutôt l'inverse. Celui qui a compris l'homme aura compris son Créateur.

lyncx a écrit:L'état dans lequel se trouve celui qui a réussi à comprendre l'homme, et à l'excuser. Illumination n'est pas forcément égale à béatitude, plutôt l'inverse. Celui qui a compris l'homme aura compris son Créateur.

Je me permets encore une autre question. A propos de l'Illumination; est ce un etat passager ou permanent ? C'est là mon problème car, pour être franc avec toi s'il existe un concept qui me laisse toujours de marbre c'est celui-là.

Albert Camus
"L'absurde, c'est la raison lucide qui constate ses limites."

Un état où le bonheur n'est plus possible, car le fond de l'homme devient clair pour toi qui le cherche. Un état où chaque chose te montre, en plus de son sens commun, la Main du Créateur. Un état où ta condition d'homme te blase et t'étouffe.

T'es déjà suivi Matrix, volume 1? (où à la fin du volume 3?) T'as déjà lu la fin de l'Aventure Ambiguë? Je pense que l'illumination n'en est pas loin.

zalzal a écrit:Albert Camus
"L'absurde, c'est la raison lucide qui constate ses limites."

Belle réponse qui pose une autre question: que faire aprés le constat de ses limites?

C'est ça l'illumination, comme disait Lyncx, il faut faire c'est que toi même m'as déjà dit, ne pas chuter, s'y engouffrer

Qu'est ce qu'on est censé faire qui ne puisse pas nager dans l'absurdité ou bien d'en provenir?Elle peut être une belle maniére de se remettre en question et donc de trouver sa source.Je vois le positif dans les pensées de Zeriézékiri,je vois aussi les solutions venir et le doute va disparaitre.

zalzal a écrit:C'est ça l'illumination, comme disait Lyncx, il faut faire c'est que toi même m'as déjà dit, ne pas chuter, s'y engouffrer

+1...
Et se contenter de solutions provisoires à travers l'illumination?

A qui le demandes tu!!!
Eternel insatisfait...

L'illumination n'est pas là pour nous apporter des solutions, mais pour que nous nous y dissolvions

Le chagrin est comme un grand trésor, on ne s'en ouvre qu'à ses intimes!!!

fashionclean a écrit:Le chagrin est comme un grand trésor, on ne s'en ouvre qu'à ses intimes!!!

On ne fait pas que des jolies phrases toutes seules ici. (Va plus en arrière pour découvrir les beaux poèmes de Téa, Zériezékiri, Lyncxs, Thiam, 20 zero et d'autres)

Donc tu peux laisser des poèmes entières comme celui que tu viens de faire dans un autres thread.

fashionclean a écrit:Tu es mon oxygène,
La joie k j promène,
La force qui brise mes chaines
Indispensable coulant dans mes veines
Quand nos deux ames s'entrainent
Je vois l'amour sans peine!!!!
Tu es plus qu'un esprit et plus qu'une chance!!!

!!!!!!!!!!!!!!!!! Je T'aime!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Alors on attend tes oeuvres poétiques avec impatience

Au seuil de mes reves charnels
Momentenèment je me demande la suite de cette ouverture
Ouverture qui m'amène à une extase endiablée de notre union
Union qui se rapprote à un plaisir qui hypnotise ma raison
Raison absorbante de cet engagement surnaturel dont nos coeurs sont le centre.

Bienvenu Amoureux Brillant Eclairant effaçant mes Lacunes!!!

fashionclean a écrit:Au seuil de mes reves charnels
Momentenèment je me demande la suite de cette ouverture
Ouverture qui m'amène à une extase endiablée de notre union
Union qui se rapprote à un plaisir qui hypnotise ma raison
Raison absorbante de cet engagement surnaturel dont nos coeurs sont le centre.

Bienvenu Amoureux Brillant Eclairant effaçant mes Lacunes!!!

Allaaahou Akbar Allaaahou Akbar Allaaahou Akbar Allaaahou Akbar

Dis moi merci....

zalzal a écrit:A qui le demandes tu!!!
Eternel insatisfait...

L'illumination n'est pas là pour nous apporter des solutions, mais pour que nous nous y dissolvions

Donc la poésie est pure mensonge surtout celle inspirée par les illuminations. Je dois enterrer tous mes rêves, toute ma volition, toute mon aspiration tous mes espoirs. Je viens dans vague sens des mots savoir que mon monde n'est qu'illusions; que mon monde n'est que chimère. Pourtant en le devoilant à vous autres, à vous qui me lisez, je le faisais avec une sincerité d'innoncent: le coeur ouvert et l'esprit en veille.
Eh bien dites-moi vous autres qui savez où trouver le secours? Eternel insatisfait, je pends mes espoirs sur vos cordes tendues.

La poésie est transformation de la physique de l'illumination. Du néant tu fais réalité avec ton verbe et ton habilité. L'illumination n'inspire pas elle te baigne de lumière que tu reflètes en mots de parolier.
Elle dévoile tes rêves et ta volition, tes aspirations et tes espoirs, qui sont couverts
de matière inerte et du bruit de quotidien . Ton monde est notre illumination quand tu nous les verbalises. Ton monde est notre guide qui écarte nos chimères.
Sincère et innocent, c'est ton coeur ouvert qui éveille nos esprits de tes poèmes
illuminés.
Nos cordes tendus et sombres vibrent de tes frappes et de ton plectre poètique.
Le secours est dans l'éveille de la harmonie musicale des choeurs des hommes, qui ne
entendent plus les sons de la lumière.
Alors, on t'écoute

Battez vos mains alors et que le choryphée se mette en place pour me rappeler les didascalies du grand maître des mots. Que les coeurs se prennent et s'eprennent pour rejoindre le choeur car sot, je vais marquer mon saut du sceau du roi seau à la main.
Chantons alors de nouvelles terres, les nouvelles ères et voyageons en même temps avec les mots vers de nouvelles aires pour rencontrer des nouvelles chaires, de nouvelles chères. Enivrons nous de folie et de nos faulx qui lissent les faces rugueuses des ondées illuminées nous dresseront les sillons de la jouvence.
Enjaillement total, mefiez-vous de vous car vous vous êtes contagieux. Entrons alors dans la catarsis et que Mame Coumba Lamba Ndoye nous délivre des mains de satan cet impenitent de la potence.

Enfin, tu m'as fais suer les neurones.... ouff te revoilà en pleine forme....

J'aime bien ça:
Chantons alors de nouvelles terres, les nouvelles ères et voyageons en même temps avec les mots vers de nouvelles aires pour rencontrer des nouvelles chaires, de nouvelles chères.

J'aime même beaucoup, beaucoup. J'adoooooooore

Comme quoi ça vaut le coup de se creuser les méninges de fois

fashionclean a écrit:Au seuil de mes reves charnels
Momentenèment je me demande la suite de cette ouverture
Ouverture qui m'amène à une extase endiablée de notre union
Union qui se rapprote à un plaisir qui hypnotise ma raison
Raison absorbante de cet engagement surnaturel dont nos coeurs sont le centre.
Bienvenu Amoureux Brillant Eclairant effaçant mes Lacunes!!!

Belle formeLe fond aussi à part que ce con de thiamaass ne mérite pas un dévouement pareil.Tu es intéressante

zalzal a écrit:Enfin, tu m'as fais suer les neurones.... ouff te revoilà en pleine forme....

J'aime bien ça:
Chantons alors de nouvelles terres, les nouvelles ères et voyageons en même temps avec les mots vers de nouvelles aires pour rencontrer des nouvelles chaires, de nouvelles chères.

J'aime même beaucoup, beaucoup. J'adoooooooore

Comme quoi ça vaut le coup de se creuser les méninges de fois

Pourtant en ecrivant mes poemes souvent me viennent en tête toutes sortes d'assonnances, de rime interieure et autres mais j'essaye autant que faire de ne pas me plier. Pour ce cas-çi je me suis laissé aller ...

HA ha, je ne parlais pas de tes méninges mais des miennes:

En fait j'ai eu peur quand tu disais que "la poésie est pure mensonge, que mon monde n'est que chimère, où trouver le secours?"
Je me suis dit qu'il fallait te remotiver.
Donc je me suis creusé les méninges, parce que ça me coûte des efforts énormes d'écrire en français, pour te répondre et je pense avoir été efficace puisque tu nous a répondu avec la pêche....

hummmmmm je vois qu´il ya beaucoup de poetes ici(et vraiment romantique aussi).

au fait je me presente.je suis la reine.et jadore le site etc......

la reine a écrit:au fait je me presente.je suis la reine.et jadore le site etc......

Dis-le ici: http://www.senediaspora.com/bienvenue-presentations-anniversaires-f2/bienvenue-nouvel-inscrit-ile-de-la-presentation-t258.htm et laisse-nous faire

zalzal a écrit:HA ha, je ne parlais pas de tes méninges mais des miennes:

En fait j'ai eu peur quand tu disais que "la poésie est pure mensonge, que mon monde n'est que chimère, où trouver le secours?"
Je me suis dit qu'il fallait te remotiver.
Donc je me suis creusé les méninges, parce que ça me coûte des efforts énormes d'écrire en français, pour te répondre et je pense avoir été efficace puisque tu nous a répondu avec la pêche....

Zalzal, merci de t'inquieter pour moi c'est sympa mais dans mes moments les plus desesperés les poemes que j'ai ecris sont gardés dans un carnet ils ne sont pas partagés malheureusement.

C'est un au cube ou un +un+un?

Sous la nuit de l'homme, le fils de l'homme rame.


Il rame dans la caravelle putride
Ses bras saignent et ses doigts gèlent
Il rame, jovial, sous les pluies acides
Au loin, sa femme pleure et ses vaches vêlent

Le galérien rame, face baissée sur les flots
Il contemple l'éclat sombre de son honneur noyé
Il pleure, et ses larmes se mêlent à l'eau
Il regrette le goût capiteux de sa fierté dévoyée

Et au fond de la cale, les rameurs entonnent
La clameur muette des emmurés vifs
Au matin de leur décadence, les mânes tonnent
Ire sourde d'une lionne sans griffes.

Mais le galérien rame toujours, aphone et aveugle
Le front baissé, le dos courbé et lacéré
Le galérien aime, sur ses épaules, le fouet qui beugle
Qui siffle et qui recrache sa volition macérée




Le galérien me parle, et me livre sa tourmente
Il me dit l'amère légende des esclaves volontaires
Il me conte qu'un soir, il quitta sa tente
Et embrassa la mer hostile, reniant ses terres
Il vogua parmi les démons déchaînés
Qui lui sifflèrent leurs litanies délétères
Il vit les corps de ses frères aînés
Macérant dans l'océan bleu de misère
Le galérien me conte en sanglots
L'épopée des fugitifs à la croix d'épine
Il me conte l'histoire des fils beaux
Qui voguèrent vers les terres aubépine
L'histoire de ceux qui défièrent Poséidon
Et lui vendirent leurs âmes
L'histoire muette des noirs Myrmidons
Qui repeuplèrent Gotham




Ce soir, je veille le galérien volontaire
Frère de sang que je perdis un jour de brume
Je veille l'homme qui délaissa ses frères
Ses champs, sa forge et son enclume.

La nuit est belle, les étoiles brillent
Sur les mers silencieuses de nos cimetières
Silence des hommes qui partirent en vrille
Vers les belles illusions temporaires.

Dans la case, ta femme accouche
Seule, au milieu des draps sales et froids
Dans la ville, tes filles découchent
Naïades éphémères sans père ni loi...

Et notre monde hurle. Et chante sa lente agonie
Les hommes qui le soutenaient sont partis
Ce cortège funèbre célèbre notre immense déraison
Un livre à la main, l'archange récite notre oraison.

Sous le jour de Sodome, le fils d'Aphrique crame.