[POESIE] Le Paradis Des Amoureux Des Strophes !

Lyncx a écrit:Définitivement, ceci terminera sur mon mur, comme tes autres...

colombe a écrit:zeriézékiri ,tu m'etonnes,vraiment!!!

zeriézékiri a écrit:

colombe a écrit:zeriézékiri ,tu m'etonnes,vraiment!!!

Merci Colombe...

Beuz a écrit:coule,coule dans mes veines
torrent de lave incadescente
dans les meandres de mon
coeur ivre d'amour!geyser,
jets explosifs aux mille etincelles
crepitant tels hymne de l'AMOUR!
amy,amour! grondements en sourdine
bouillonnement,explose,mon ETNA,
feux d'artifice dans mon champ de vision
ta lave,rouge ecarlate,arpente,zigzagante,
tout mon corps,avide d'amour!
ne me quittes pas!ne ..ME..QUITTES PAS!

Beuz a écrit:na validé rupture officiellement fi !
bou ko défé ma xam sama bopeu!

sengalhiphop a écrit:Mais beuz yow brai looser quoi!!
Limoy lann?

Amypoulain a écrit:

sengalhiphop a écrit:Mais beuz yow brai looser quoi!!
Limoy lann?

bayil beuzou diambour bi nay traité de looser!! il n a rien loosé, seytané bi!! démal lidianti seu cas mo gueune!!

Thiamaass a écrit:Pour Elle...

A son nom je mettais
A son ton je me suis
Accroupi pour voir la douceur de l'été
A voir son sourire je fuis

A sentir sans dire sans tirs le timbre de sa voix
Je replonge dans mes moroses journée de Savoie
Je m'en irais jusqu'à savoir sans voir cent fois
L'humeur zen d'un si grand coeur qui, de foi, me voit

A comme Ses lettres à l'entame de ces initiales
Loin de moi toute hâte nuptiale
L'étoile qui étoffe le lugubre désespoir
De mes veines accapare la lumière: Noire

Un cri tendre, une douceur froide, ma Lune
Qui dans le dessein manipule mon destin
Se régale de dessins des seins d'un saint festin
Je suis le sain qui libère l'esprit d'une vie brune

Irakian, je t'en veux vraiment de n'avoir rien pu faire !

sengalhiphop a écrit:

Amypoulain a écrit:

sengalhiphop a écrit:Mais beuz yow brai looser quoi!!
Limoy lann?

bayil beuzou diambour bi nay traité de looser!! il n a rien loosé, seytané bi!! démal lidianti seu cas mo gueune!!

wouuou mann samma cas léppa lisss comme riko la glace

Lyncx a écrit:

Thiamaass a écrit:Pour Elle...

A son nom je mettais
A son ton je me suis
Accroupi pour voir la douceur de l'été
A voir son sourire je fuis

A sentir sans dire sans tirs le timbre de sa voix
Je replonge dans mes moroses journée de Savoie
Je m'en irais jusqu'à savoir sans voir cent fois
L'humeur zen d'un si grand coeur qui, de foi, me voit

A comme Ses lettres à l'entame de ces initiales
Loin de moi toute hâte nuptiale
L'étoile qui étoffe le lugubre désespoir
De mes veines accapare la lumière: Noire

Un cri tendre, une douceur froide, ma Lune
Qui dans le dessein manipule mon destin
Se régale de dessins des seins d'un saint festin
Je suis le sain qui libère l'esprit d'une vie brune

Irakian, je t'en veux vraiment de n'avoir rien pu faire !

Nobaaté niawwul
Gaawa noobaté moo niaaw
Guëlëm niaawul
Deukk ci guëlëm moo niaaw
Saa wayy, tioolul.
Muñël, ta bul xool guinaaw.

zeriézékiri a écrit:
L'espoir c'est toujours cette lueur cette pénombre
Ces silhouettes oblongues et sombres
Que l'on entrevoit sans pour autant les saisir;
Furtives brises qui s'en vont dans le désert.
L'espoir ce sont ces vers qui coulent de source
Lorsque les cascades arrêtent leur course
Avec la clarté de fée illuminée
Par le sourire d'un homme condamné...
L'espoir c'est l'attente de l'incertitude
Des prisonniers heureux de leur servitude;
Cet elixir à la main, tels furent Romeo et Juliette
Prisonniers l'un et l'autre d'une promesse muette...
L'espoir c'est cet instant solennel qui nous pèse
C'est ce repas lointain qui rompra l'ascèse
L'espoir c'est l'attente d'un désir demeurant désir
Perclus au fond des yeux tristes d'un pauvre hère.
L'espoir c'est cette rose qui s'arrose et qui grandit :
Qui s'odore...
Indolore,
Mais dont la mélancolique épine nous grandit...
L'espoir c'est toi, torche à la main guidant nos pas
L'espoir est roi, pour l'aveugle que la vie éborgna
L'espoir c'est ce feu ardent qui brûle et réchauffe
Et qui crépite en silence dans l'âtre des philosophes
L'espoir c'est toi et tout ce que tu portes en toi
Drapé de guenilles somptueuses tissées en fil de soie
L'espoir c´est cet absolu qui me pèse et me
Rend ma quiétude première...
L'espoir est ce cri primaire,
Larme moribonde qui déchire et qui émeut.
Celle d'être tout simplement ondée pure ...
Qui, au matin, humecte nos rêves et nos amours
C'est tout ce qui est humain...
Car seul l'humain s'accroche au vain...
La suite c'est à toi de l'écrire
Toi, l'esseulé qui toujours espère...

Lyncx a écrit:Sama grand bi laa yërëm rekk

zalzal a écrit:

Deux vates au verbe bottés battant la verbatim ??
Où vat-on ???

Lyncx a écrit:

zeriézékiri a écrit:
L'espoir c'est toujours cette lueur cette pénombre
Ces silhouettes oblongues et sombres
Que l'on entrevoit sans pour autant les saisir;
Furtives brises qui s'en vont dans le désert.
L'espoir ce sont ces vers qui coulent de source
Lorsque les cascades arrêtent leur course
Avec la clarté de fée illuminée
Par le sourire d'un homme condamné...
L'espoir c'est l'attente de l'incertitude
Des prisonniers heureux de leur servitude;
Cet elixir à la main, tels furent Romeo et Juliette
Prisonniers l'un et l'autre d'une promesse muette...
L'espoir c'est cet instant solennel qui nous pèse
C'est ce repas lointain qui rompra l'ascèse
L'espoir c'est l'attente d'un désir demeurant désir
Perclus au fond des yeux tristes d'un pauvre hère.
L'espoir c'est cette rose qui s'arrose et qui grandit :
Qui s'odore...
Indolore,
Mais dont la mélancolique épine nous grandit...
L'espoir c'est toi, torche à la main guidant nos pas
L'espoir est roi, pour l'aveugle que la vie éborgna
L'espoir c'est ce feu ardent qui brûle et réchauffe
Et qui crépite en silence dans l'âtre des philosophes
L'espoir c'est toi et tout ce que tu portes en toi
Drapé de guenilles somptueuses tissées en fil de soie
L'espoir c´est cet absolu qui me pèse et me
Rend ma quiétude première...
L'espoir est ce cri primaire,
Larme moribonde qui déchire et qui émeut.
Celle d'être tout simplement ondée pure ...
Qui, au matin, humecte nos rêves et nos amours
C'est tout ce qui est humain...
Car seul l'humain s'accroche au vain...
La suite c'est à toi de l'écrire
Toi, l'esseulé qui toujours espère...

Beuz a écrit:coule,coule dans mes veines
torrent de lave incadescente
dans les meandres de mon
coeur ivre d'amour!geyser,
jets explosifs aux mille etincelles
crepitant tels hymne de l'AMOUR!
amy,amour! grondements en sourdine
bouillonnement,explose,mon ETNA,
feux d'artifice dans mon champ de vision
ta lave,rouge ecarlate,arpente,zigzagante,
tout mon corps,avide d'amour!
ne me quittes pas!ne ..ME..QUITTES PAS!

zeriézékiri a écrit:...je m'attendais pas à une telle gygone poétique.

Lyncx a écrit:

Beuz a écrit:coule,coule dans mes veines
torrent de lave incadescente
dans les meandres de mon
coeur ivre d'amour!geyser,
jets explosifs aux mille etincelles
crepitant tels hymne de l'AMOUR!
amy,amour! grondements en sourdine
bouillonnement,explose,mon ETNA,
feux d'artifice dans mon champ de vision
ta lave,rouge ecarlate,arpente,zigzagante,
tout mon corps,avide d'amour!
ne me quittes pas!ne ..ME..QUITTES PAS!

Incendiaire... Punaise, les filles sont vraiment insensibles quand elles le veulent!
J'ai l'impression que t'as vraiment écrit avec tes tripes...

tu ferais un bon editeur!

Beuz a écrit:merci,l'artiste!à y voir deplus pres,tu me pose un cas de conscience!qui es tu vraiment?UNE QUESTION ME TARAUDE LESPRIT DEPUIS QUE JE TE LIS:es tu scorpion?

zeriézékiri a écrit:J'ai crée toutes les formes, toutes les folies possibles
J'ai inventé de nouvelles armes, de nouveaux charmes
J'ai goûté à toutes les chairs, pendant des ères
J'ai fréquenté toutes les lieues, tous les cieux
J'ai planté toutes les roses, goûté à tout ce qui est morose
J'ai traversé le monde par ma pensée, par mon imagination
J'ai essayé d'inventer une poésie nouvelle avec de nouvelles rimes
De nouveaux rythmes, de nouveaux accords, de nouvelles cadences,
De nouveaux sens...
J'ai essayé de chanter l'amour avec de nouveaux sons, de nouvelles
Gammes, de nouveaux airs..
J'ai essayé de peindre la beauté dans sa pureté originelle
Avec un nouveau pinceau, une nouvelle couleur: celeste et eternelle
J'ai participé à toutes les liturgies,
Hysterique, féerique, démiurgique, catartique
J'ai crée toutes les fêtes,
Sabbatique, melancolique, gothique, orgique
J'ai chanté toutes les simagrées, toutes les fricassées
Et j'ai aussi inventé de nouvelles étoiles, toilées pour toi: Diane
Ma princesse aux doigts de safran et au sourire carmin incendié
Qui illumine mes pas lents et feutrés de gueux incompris
J'ai escaladé toutes les montagnes et partagé tous les drames
Ame sensible j'ai chanté comme un troubadour la geste et finalement,
Je me suis cru possédé
J'ai accompagné la protase jusque chez son alter-ego: l'apodose et
Je me suis cru en un instant: génie
J'ai tendu ma main droite au ciel pour cueillir des étoiles et
Me suis cru Prophète
J'ai tendu ma main gauche à l'ivrogne, cet ami de Bacchus, partisan de la dive bouteille pour me servir de son eau benite et me
Suis cru illuminé
J'ai loué les mots dans leur joliesse diamentée et dormi tel un Adonis
A côté de sa Venus, du sommeil du juste et
Me suis cru Vate
Je me suis cru à la fois, Vate, Illuminé, Prophète, Génie, Possédé à l'instant d'une matinée aspergée de rosée ...
Helàs,
je vais me pendre tel un damné puisque mon imagination ne m'a fait braillé et voyagé que dans les arcanes du chaos eternel..
Helàs,
je dois enterrer mes désirs absurdes et me résoudre à être un paria, un
incompris parmi les siens incompris et à la recherche de lumière
salvatrice.
J'ai perdu ma clef, ma boussole mes seuls guides, dans les abysses dans
lesquelles circule cette voûte qui éclaire les plages pour les
Couples pendant les chaudes nuits estivales;
Mais,
puisque la lumière brille au loin, à l'horizon, j'irai là-bas pour chercher
mes armours perdues: ma clef et ma boussole... La girouette seule
chantant son deuil accompagnera mes pas et qui sait: peut-être j'y
croiserai un semblable qui saura me guider.

THIAM Babel a écrit:... et de piles aussi? ... et de joints? !

zeriézékiri a écrit:Que celui qui comme Ulysse afait un beau voyage
Que celui qui comme Néron sait jouer de la lyre
Que celle qui comme Penoloppe sait tisser la nuit durant
Et défaire le fruit de ce labeur dés le matin
Que celui qui a connu la la Muse matinale
Que ceux-là se joignent à moi pour aller, tels
Des Djélis déclamer la parole sacrée
Mais,
Que celui un jour a trahi la confiance d'une femme
Que celle qui une fois a menti a un homme juste et bon
S'eloignent de moi pour de bon car je ne saurai trouver
Les mots justes pour les reconcilier avec eux-mêmes.

colombe a écrit:BB Thiam, les poèmes de notre prince zeriézékiri sont tres émouvantes. Quand je lis ses lignes parfois moi aussi j'ai envie d'ecrire quelque chose.

eh ben si ,moi j'ai une Conscience,chose que toi aussi tu devras avoir .

Sweetusher a écrit:Zériézékiri et Lyncx m'intimident touti rek j'essaies de pouvoir écrire comme eux and I'm on di way of doing it seriously et j'y parviendrai doni doni.

Colombe a écrit:Qui est SaïSaï?

Zeriézékiri a écrit:

Colombe a écrit:Qui est SaïSaï?

Zalzal

Colombe a écrit:

Zeriézékiri a écrit:

Colombe a écrit:Qui est SaïSaï?

Zalzal

Mais pourquoi vous disez qu'il est un SaïSaï? Il est mon oncle gentil!