[POESIE] Le Paradis Des Amoureux Des Strophes !

Julie a écrit: c'est du charabia tout çà

Julie a écrit:peut être que Colombe comprends

Julie a écrit:

Zeriézékiri a écrit:

Revenons aux mots Julie...
Je suis l'aveugle qui avance tâtant avec ces mains
Sans savoir ce qu'il va rencontrer et qui
Dans sa quête rêve, s'illumine et se sublime.
Pourtant, je ne sais pas ce que je cherche
Peut-être tout!
Peut-être rien!
Peut-être les deux à la fois.

Julie a écrit:ce que j'aimerai écrire comme toi

Zeriézékiri a écrit:
Je bois dans tes maux des mots
Une fée aux rousseurs sauvages
La bergère regardant le soleil au zenith
Imagine t'elle la fin de son amour
Et qui sait des mot des mots encore des mots...
Pour toi j'ecris juste pour m'amuser...

Colombe a écrit:

J'aimerais pouvoir écrire comme toi .

Colombe a écrit:

J'aimerais pouvoir écrire comme toi .

Zeriézékiri a écrit:

Colombe a écrit:

J'aimerais pouvoir écrire comme toi .

Colombe tu es ma Muse...c'est toi qui m'inspire.. Tu es ma source...

Zeriézékiri a écrit:L'ombre nous gagne comme la nuit nous couvre
Il est un temps qui est sacré et maussade à la fois
L'ombre regagne son berceau natal aprés avoir
Terminé un labeur herculien...
L'ombre pas à pas regagne notre demeure commune.
Une âme de dame remplit de crames
Une vestale qui veille la veille des temps
Un cœur brulé, brisé,bouleversé
Traverse sous l'averse une rue inverse.
Une dame au cœur chagrin
Tenant en sa main les vestiges
D'un amour passé et vain
Regagna l'ombre d'un air mitigé.

Maria Julia complète?

Julie a écrit:toi alors ,,, tu es trop fort

Zeriézékiri a écrit:

Julie a écrit:toi alors ,,, tu es trop fort

Julie moi je suis avec les mots comme un enfant qui s'amuse à tracer des courbes sur le sable de la plage..je m'amuse sans aucun but..

Julie a écrit:

Zeriézékiri a écrit:

Julie a écrit:toi alors ,,, tu es trop fort

Julie moi je suis avec les mots comme un enfant qui s'amuse à tracer des courbes sur le sable de la plage..je m'amuse sans aucun but..

je vois, moi aussi j'aime tracer sur le sable des courbes éphémères tendrement caressées par des va et vient des vagues dans un bruissement divin océane

Colombe a écrit:

Zeriézékiri a écrit:

Lyncx a écrit:Sur les chemins nocturnes
Que n'éclairent ni les hommes ni les anges
Parsemés de rocs fébriles
Un voyage s'en remet aux lendemains.
Toujours
Fait et défait ses besaces
Eternel pélerin compromis vers une terre
Un voyage toujours se projette
Sur des murs d'une cage fade.
Sur les chemins nocturnes
Que n'inondent ni les vierges ni les limons
Un être seul
Selle sa monture morte.

Que les limbes me drapent, si je ne m'abîme
Que le linceul soit apprêté pour le tardif
Que mille tambours battent la sarabande
Si tout élan meurt
Sous les combles des honneurs.
Que me soit donné l'oraison
Sur mon chef sans guide
Qui ne chercha pas un toît avant que la grêle ne vînt
Que tout s'effondre! Que l'arche se disloque
Autour de mon cadavre
Sans engrais
Si j'ai passé mes longues heures avachi
Devant l'infini de mes espoirs...
Que je m'annihile dans l'oubli
Si j'ai, ne serait-ce qu'un instant
Procrastiné ma foi.

Un cadavre jouant sa propre oraison funèbre...! Ce texte pour renvoie dans mes peurs, mes interrogations. En fait ma peur vient de mes lectures diverses à mon avis, je me cherche où plutôt je cherche un chemin que parfois je trouve seul, parfois dans tes mots, par moments je ne trouve rien et c'est peut être pourquoi je me refugie dans l'ecriture-lecture. Où puiser le secours?

Lyncx a écrit:

Zeriézékiri a écrit:

Lyncx a écrit:Sur les chemins nocturnes
Que n'éclairent ni les hommes ni les anges
Parsemés de rocs fébriles
Un voyage s'en remet aux lendemains.
Toujours
Fait et défait ses besaces
Eternel pélerin compromis vers une terre
Un voyage toujours se projette
Sur des murs d'une cage fade.
Sur les chemins nocturnes
Que n'inondent ni les vierges ni les limons
Un être seul
Selle sa monture morte.

Que les limbes me drapent, si je ne m'abîme
Que le linceul soit apprêté pour le tardif
Que mille tambours battent la sarabande
Si tout élan meurt
Sous les combles des honneurs.
Que me soit donné l'oraison
Sur mon chef sans guide
Qui ne chercha pas un toît avant que la grêle ne vînt
Que tout s'effondre! Que l'arche se disloque
Autour de mon cadavre
Sans engrais
Si j'ai passé mes longues heures avachi
Devant l'infini de mes espoirs...
Que je m'annihile dans l'oubli
Si j'ai, ne serait-ce qu'un instant
Procrastiné ma foi.

Un cadavre jouant sa propre oraison funèbre...! Ce texte pour renvoie dans mes peurs, mes interrogations. En fait ma peur vient de mes lectures diverses à mon avis, je me cherche où plutôt je cherche un chemin que parfois je trouve seul, parfois dans tes mots, par moments je ne trouve rien et c'est peut être pourquoi je me refugie dans l'ecriture-lecture. Où puiser le secours?

Le secours n'est pas de ce monde. Tant qu'il y aura de la vie, tant que ton existence sera pleine, il n'y aura pas de place pour le secours. Ainsi est fait le pèlerin, ne se reposant jamais sur ses lauriers, toujours tendant vers des réponses qu'il n'est jamais sûr de connaître.

Tu n'es pas seul, cher ami...

Celui qui ne sait pas encore ce qu'il cherche, mais qui a la farouche envie de trouver quelque chose, n'importe quoi, est toujours préférable à celui qui sait ce qu'il doit chercher mais ne s'y engage pas. Celui qui erre est mille fois préférable à celui qui sursoit.

Courage, cher ami.

Zeriézékiri a écrit:Je me suis bien amusé cet-aprés midi les filles...

Zeriézékiri a écrit:

Lyncx a écrit:

Zeriézékiri a écrit:

Lyncx a écrit:Sur les chemins nocturnes
Que n'éclairent ni les hommes ni les anges
Parsemés de rocs fébriles
Un voyage s'en remet aux lendemains.
Toujours
Fait et défait ses besaces
Eternel pélerin compromis vers une terre
Un voyage toujours se projette
Sur des murs d'une cage fade.
Sur les chemins nocturnes
Que n'inondent ni les vierges ni les limons
Un être seul
Selle sa monture morte.

Que les limbes me drapent, si je ne m'abîme
Que le linceul soit apprêté pour le tardif
Que mille tambours battent la sarabande
Si tout élan meurt
Sous les combles des honneurs.
Que me soit donné l'oraison
Sur mon chef sans guide
Qui ne chercha pas un toît avant que la grêle ne vînt
Que tout s'effondre! Que l'arche se disloque
Autour de mon cadavre
Sans engrais
Si j'ai passé mes longues heures avachi
Devant l'infini de mes espoirs...
Que je m'annihile dans l'oubli
Si j'ai, ne serait-ce qu'un instant
Procrastiné ma foi.

Un cadavre jouant sa propre oraison funèbre...! Ce texte pour renvoie dans mes peurs, mes interrogations. En fait ma peur vient de mes lectures diverses à mon avis, je me cherche où plutôt je cherche un chemin que parfois je trouve seul, parfois dans tes mots, par moments je ne trouve rien et c'est peut être pourquoi je me refugie dans l'ecriture-lecture. Où puiser le secours?

Le secours n'est pas de ce monde. Tant qu'il y aura de la vie, tant que ton existence sera pleine, il n'y aura pas de place pour le secours. Ainsi est fait le pèlerin, ne se reposant jamais sur ses lauriers, toujours tendant vers des réponses qu'il n'est jamais sûr de connaître.

Tu n'es pas seul, cher ami...

Celui qui ne sait pas encore ce qu'il cherche, mais qui a la farouche envie de trouver quelque chose, n'importe quoi, est toujours préférable à celui qui sait ce qu'il doit chercher mais ne s'y engage pas. Celui qui erre est mille fois préférable à celui qui sursoit.

Courage, cher ami.

Lyncx ça fait toujours plaisir de lire tes reponses car je sais que tu es un lecteur qui comprends mes mots, mes poèmes mes interrogations et j'en suis conscient.

Bimbo a écrit:

Julie a écrit:Ensorcelait ton regard
D'un désir d'au delà
De nos rêves ..

Zeriézékiri a écrit:

Julie a écrit:Ensorcelait ton regard
D'un désir d'au delà
De nos rêves ..

Un regard de lynx
Qu'eternise le visage de Julie
Dans son coin telle colombe
L'inspiration roucoule et
Moi je ris et j'ecris.