[POESIE] Le Paradis Des Amoureux Des Strophes!

Rappel du premier message :

Une poésie de la vie,
Comme elle nous sourit,
Elle nous entend,
Et cela a chaque instant...

Une petite poésie du coeur,
loin des pleurs
Pour oublier les tristes journées
Quand on est mal réveillé...

Une petite poésie romantique,
Voir une personne magique,
Rêver de bons instants,
Et meme d avoir des bons moments...

Humer la vie
Quand nos mots ne résonnent
Que vers son infini.

Humer la vie
Croire en Dieu, croire en l Homme
Rire de son mépris.

Humer la vie
Prendre ce qu elle nous donne
Et ce qu elle nous ravit.

Humer la vie
Quand elle nous assomme
Et qu on a rien compris...

J ai fait un rêve
D une nouvelle terre
Dune guerre de paix
Plus de misère
Plus de pleurs
Que du bonheur
A la place du canon
Des roses en boutons
Prêtes à éclore
Encore et encore
Que nous soyons tous rassemblés
Autour d une tasse de thé
Tous les pays soyons amis et unis
Pour évincer tous les conflits
Cette terre s appellera
Paix, liberté et fraternité...

(si ce rêve pouvait devenir réalité...rêvons tous fort pour qu il se réalise!)

la transparence

Elle est la
Ou la bas
Poussée par les vents
Dessus, derrière, devant
Elle nous entoure
Sans détours
On l inhale
Et dans nos sangs
Lentement
Elle s installe

La terre a tremblé au Japon
Quel drame, quel cauchemar
Hommes, femmes et enfants
Le coeur meurtri, l âme en peine
Sombrent dans une profonde désolation.
Que Dieu protège les survivants
Fermons les yeux pour ceux
Qui sont partis vers le ciel.
Prières et larmes pour ceux qui restent.
Apportons nos aides a cette population
Qui souffre à l autre bout du monde.

Des gouttes de chagrin se meurent dans mon cou
Dessinant un collier de peine pour unique parure
Aux fragrances amères d un parfum de torture
Il empoisonne mon coeur,mon esprit devient flou...

Des cadeaux de circonstance
Qui témoignent de notre reconnaissance

Des cadeaux qui font mouche
Ou qui tombent à côté

Des cadeaux qu on n attend pas
Ou qui nous ont manqués

Des cadeaux empoisonnés
Trop lourds à porter

Ou des cadeaux qu on ne se fait pas!

Voici le cadeau,
Voici le joyau,
Voici l outil,
Pour tailler ta pierre...

Tes lignes remuent quelque chose en moi. En nous. Quelque chose qu'on croit éteint, jusqu'à ce que tu le touches de tes doigts et de ta plume. D'où te vient ce pouvoir, Blackette?

oh merci Lyncx c est tres gentil a toi
mais j ecris comme ca comme ca vient en fonction de faits qui se passent dans mon entourage ou alors selon l humeur du jour
en tout cas merci beaucoup

Il y avait de ce temps
Des Chrysanthèmes
Fanées et des pensées
Il y avait de mon coeur
Comme une odeur
De peupliers plissés
Des années battées
Baclées
Comme une galère en dérive
Des jours maquillés
Et des jours sans fard
Des rires en pleurs
Il y avait de ce temps
Des chrysanthèmes
Fanées et des pensées
Comme un bleu au coeur
Un rire jaune sur les tombes
Il y avait ce sarment
A ma belle,serment
Qui passait seule ses années
Comme une pénélope tissant
Quand une odeur de feu
Qui brûle les forêts vierges
Un enfant qui pleure encore
Assise, seule, sur son rocher.

Le cafard
Pour un mot
Un rêve, une image
Voyageur incognito
Missi Dominici du vague à l âme
Il arrive sans crier gare
Ouvre un à un tous les tiroirs
Et verbalise l oubli
Le doute et la mémoire
Puis il s installe
Bien au chaud
Bien au creux
Se love au mieux-être d autrui
Il est chez lui chez vous
Prend votre coeur pour un moulin
Et n a de cesse alors
Que vous broyiez du noir.

Marcher ensemble dans la joie,
Se donner la main dans la peine,
Dans l être humain garder la foi,
Balayer de nos coeurs la haine.

Se réjouir des regards éclatants de vie,
Entrer en résonance dans la douleur,
Bannir la jalousie et l envie,
Que l amour répudie la peur!

Au delà de nos différences,
Rester attentif et a l écoute,
Meurtrière est l indifférence,
Vivre en paix coûte que coûte!

Ecoute le murmure de la forêt,
Le ruissellement de l eau.
Ecoute le pétillement du feu,
Le calme de ce lieu.

Ecoute la pluie qui tombe,
Le ruisseau qui coule,
Le tambour qui roule.
Ces rythmes lancinants,
Ces mélopées qui s élèvent.

Ecoute le léger bruissement des insectes,
Ecoute le coq chanter,
La chèvre bêler,
Le chien aboyer.

C est le coeur de l Afrique qui bat.
Une Afrique pleine de vie,
de joie aussi...

La guerre...
Elle détruit des familles
Elle détruit plein de vies
Tout ce sang qu elle produit
Pour la gloire qui s en suit

Pour un simple compromis
Le dialogue est mis a prix
Les canons fanfaronnent
La vie est monotone

Des pays dévastés
Sous un ciel enragé
La nuit vient sous la pluie
La mort chante a minuit

Pleurez, familles meurtries
Que leurs tombes soient fleuries
Et volent au paradis.

Quand tout devient étrange et bizarre
Est-ce le début de l aube ou du soir?
Est-ce un rêve ou un cauchemar?

Quand l âme est détenue ou prisonnière
Elle ne peut crier ni être en colère
Assoiffée même si elle est en face d une rivière

Quand l âme et le coeur sont en rupture
Ils vivent!Mais rien que la torture
Tout est différent, passé, présent et futur

Quand on se rapproche de la fin
Le malheur? Etait-il notre destin?
La vie? Etait-elle un moment de joie ou de chagrin?

Quand on se sent mort alors qu on vit
Les jours par le désespoir sont sévis
Une vie sombre, sans aucun désir ni envie...

Non, je n ai rien a déclarer, Je vais tout droit
Je fonce vers ma solitude Au bout,la bas.

Il y a un réverbère tout au fond de moi
Qui éclaire chacun de mes pas
Je suis la ici bas dans tout mes états
Ce qui rend à la vie ses éclats

La peur cachée dans chacun de mes émois
A chaque fois il y a tant d effroi
Moi me trouvant seule face au roi
Mon roi étant moi
Guidant mes pas...

J'aurais aimé vous séduire, sinon avec mon âme, au moins avec mes mots! Ils viennent de mon moi profond. Je les choisis avec beaucoup d'attention, car ils émanent de mes passions ! Là où nul n'accède sans ma permission. Et ils racontent avec précision.Ils vous montrent les images et vous envois les sons
Si vos oreilles sont afutées , vous entendrez , chanson bien douce , les mots d'amour, qu'au matin de l'histoire, chacun se sussurait sans hésiter . Battements de coeurs à l'unisson, seuls, troublant le silence de nuits brunes,baignées dun clair de lune .Ces mots vous conteront, sans hésitation, ma partition du bonheur sans heurt. S'échapperont de cette harmonie, des rires de bébés, des soupirs d'aise, des mots doux, des vers déclamés par un poète, des chansons d'espoir ou d'amour, des murmures de satisfaction, des chants d'oiseaux, des sources qui gazouillent, des cloches qui tintent joyeusement annoncant d'heureux évènements , des comptines enfantines , des ronrons de chatons, des récitations pleines d'émotions ...tous ces sons, tous ces mots qu'emmagasine une femme heureuse .
Et puis, sans y faire trop attention vous glisserez dans cet espace de souffrance qui habite tout être réceptif au malheur! Grincements de dents, pleurs, sanglots étouffés d'enfants souffrant dans leur innocence, clameurs ,gémissements, lamentations,, plaintes, râles...tous ces mots !!!!Tous ces mots qui font mal, qui nous rapellent nos peurs, nos terreurs et nos pleurs !
J'aurais voulu vous cajoler avec des mots de douceur...des mots suaves , tendres sucrés, mielleux,affables bienvaillants, indulgents ...
J'aurais voulu vous parler d'humanité, de bonté de charité pas toujours bien ordonnée,de compassion, d'indulgence, de sensibilité ! Mais nul part autours de moi, j'en ai trouvé assez pour les utiliser. Donc ces mots, si peu usités , je les ai remisés, rangés pas trop loin, espérant toujours, m'en servir un jour!
Vous parlez de la paix, aurait été mon sujet préféré.J'aurais pu utiliser des mots magnifiques au sens honorifique ! J'aurais employé les mots : calme, silence, tranquillité, quiétude, sérénité.. . Les enfants auraient cessé d'avoir peur, de trembler et de pleurer . Les femmes aurait retrouvées le plaisir de prier sereinement , sans suplier Dieu d'épargner la vie de leurs maris . Et les hommes auraient cesser de risquer se faire tuer .
Mais la paix n'est pas de ce monde. Et ne le sera, vraisemblablement jamais . Mais , tant pis ! Je veux garder espoir! Alors tous ces mots là, je l'ai ai gardés a portée de main et de voix!
Je vous livre mes mots et ma pensée, sur un plateau, à ce sujet : il faut que les hommes cessent de prendre du plaisir a jouer à la guerre. Il faut qu'ils deviennent des adultes, il n'est pas trop tard, mais il est temps. N'y a t-il pas assez de morts dans toutes ces catastrophes naturelles ? Laissons faire la nature , elle se charge d'équilibrer le monde, pas besoin de l'aider .Cessons ces jeux, où seuls le pouvoir est l'enjeux,où l'on massacre des milliers d'innocents, faisant couler des torrents de sang, arrachant les mères à leurs enfants pour en faire des jouets à violer et à tuer!
Pour vous parler de l'état du monde j'aurais du ressortir des mots que j'avais enfoui au plus profond , et ce à jamais!
Donc juste un bilan : tremblement de terre, tsunami, inondation, catastrophe nucléaire, tempête, cyclone, secheresse..La Nature est en colère contre l'Homme, de ce qu'il lui a fait ! Pourquoi, mon Dieu, y rajouter la GUERRE ?

LE VENT SE LEVE..

Le vent se lève en moi comme ce mal de vivre,
Cette plaie qui s’ouvre aux débuts des hivers,
Je sais l’isolement aux doigts couleur de givre
Même cernée, je sais le vide aux univers
Qui me revient toujours et qui va se poursuivre
Au destin des sentiers, parfois les plus divers.

Et je croise en flânant l’œil fixé sur ma montre
Des courses d’imprévus au hasard des rencontres.

Te dirais-je jamais tout ce que j’imagine,
Ces envies de départ aux aubes reconnues
Verbes asexués aux doutes androgynes
Dans le creux de mes nuits aux craintes revenues.
J’ai tant perdu de mots dont je sais l’origine
Que je me trouve là, sans certitudes nues.

Et je cherche toujours lorsque ma bulle crève
Un nouvel asile pour abriter mes rêves.

Ne renonce jamais à l’éternelle lutte,
Il est des désespoirs aux quels tu n’as pas droit
Le caillou au chemin, celui où ton pied butte,
Doit t’aider à poser tes idées à l’endroit
La vérité c’est ça, s’il y a une de chute
Tu vas te relever et surtout marche droit.

Et pourtant sont passés au fil du laminoir
Ces projets qu’avec toi je baptisais espoirs.

Je sais, je sais trop bien le sens du mot naufrage,
J’ai assez navigué aux démences des eaux
Sans bagages sachant qu’à la fin du voyage
Je me trouverais seule aux rivages des mots
Pour cheminer debout, jusqu’au bout de mon âge
Aussi nue que je fus sur les fonds baptismaux.

Je marche vers demain, cela je te le dois,
Deux notes et deux vers juste au bout des doigts.

Wahou.... ! C'est beau et net !!!

mon préféré qui a été mis en musique par neega Mass
Les chaines de l'esclavage

Je veux pouvoir sursoir
A la mémoire du peuple noir
Ne pas oublier notre histoire
Votre devoir, c'est de me croire
Pensées noires immortalisées
Sur un pauvre cahier d'écolier
Images de souffrances révélées
Dans mes yeux a jamais gravées
Ne pas tourner la page de l'histoire
De mon,de notre peuple noir
Des choses moins que des hommes
Des riens que jamais on ne nomment
On étaient que ça a leurs yeux
On n'existaient pas pour eux
Dénués d'ame et de raison
Sans culture ni tradition
Déjection de l'abjection
Pour nous, nulle compassion!
Ensardinés dans les bateaux négriers
Entassés pour l'irréversible traversée
Dernière odeur de notre terre.Inhaler!
Dernier sol foulé : l'ile de Gorée
Poignée de sable emportée
Au fond de la poche gardée
Larmes de désespoir versées
Déracinement ; laisser couler!
Premières chaines aux pieds
Premiers coups de fouet
Et la mort souhaitée
Plutot que perdre sa dignité
Premières humiliations supportées
premiers cris de douleur étouffés
Première vente au marché
Premier nom d'esclave imposé
premiers viols sur femmes perpétués
Pour elles , point de respect!
Premiers enfants captifs nés,
Sans que la liberté lui soit innée.
Goût de fiel dans cette existence volée
Par une houle de haine rythmée.
Dans les champs de coton tonnent
Jusqu'aux cieux les chants monotones
Comme une doléance autonome,
Vers DIEU le Loué en personne.
Sur des pages blanches,j'écris le noir passé
De mes frères pour ne pas l'oublier
Et , même si je dérange
Ce qui n'aurait rien d'étrange
Je n'y changerais rien
Je porte les chaines des miens.


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Les pages successives
Les mots se suivent
Phrases qui se succèdent
Sans aucune aide
Les paragraphes décrivent
Des discussions vives
Des paysages de saison
Des personnages en situation
Les chapitres s enchainent
Doucement ils nous mènent
A connaitre la fin
De l intrigue, c est certain
Voici comment naît un livre
Que l écrivain nous délivre
Fenêtre sur un monde
Fascinant
Découverte d un autre élément
Celui de l imaginaire
Rêverie éphémère
Qui, bien sur ne dure
Que le temps d une lecture

Le chocolat
Qu il soit blanc, au lait ou noir
On aime en prendre les soirs
Une poire en accompagnement, il peut avoir.

On le connait aussi sous la forme glacée
Dans les beignets il peut être placé
Vraiment, il y a de quoi se régaler.

Une loi est née entre l homme et le chocolat
Aux anniversaires, il sera
Aux Hommes, toujours il plaira.

Je T'Aime Tant

Si je ne t'avais pas, je ne sais pas ce que je ferais. Car avec toi, je possède tant de douceur, tant de bonheur et tant d'amour. Tu représentes tant de choses remarquables. Grâce à toi, mes sentiments ne connaissent plus de bornes et mes sourires ne s'effacent plus. Je t'aime tant. Tu fais partie de chacune de mes moments, que tu sois tout près de moi ou si loin que je ne peux te toucher qu'en pensée et en rêve. Il me semble que c'est toi que j'attendais pour tout. Maintenant que tu es là, je veux que tu saches que je n'aie jamais connu autant de bonheur...

Je t'aime pour ta compréhension et ton affection. Tu as changé ma vie à jamais et la façon dont j'envisageais l'avenir. Grâce à toi, j'ai maintenant le courage d'exprimer ce que je ressens. Nous avons partagé des pensées qui nous ont rapprochés pour toujours. Notre amour est un don qui durera éternellement. Merci, mon amour, de faire partie de ma vie... et de m'aimer.

c est chouette Negger

merci sister alors tu poste ou bien

Le jour est d une pâleur...d avoir manqué ton soleil, j attendais ton lever tous les jours pour chasser de l horizon ma brume.

et sa tu l'ecrit pour qui sakh?

comme ca il y a deja un moment tu sais j m amuse a ecrire parfois a mes heures perdues.tout ce que tu lis plus haut ce sont des tits poemes ecrits par mes soins en fonction de l instant tu vois...

je vois bien donne moi des cours way

ish tu parles!!c est rien d exceptionnel

ohhh que si boul ko xeep nak

ok thanks alors t es gentil

de rien nio far homie no doubt

yep okay!!

Negger bi a écrit:Je T'Aime Tant

Si je ne t'avais pas, je ne sais pas ce que je ferais. Car avec toi, je possède tant de douceur, tant de bonheur et tant d'amour. Tu représentes tant de choses remarquables. Grâce à toi, mes sentiments ne connaissent plus de bornes et mes sourires ne s'effacent plus. Je t'aime tant. Tu fais partie de chacune de mes moments, que tu sois tout près de moi ou si loin que je ne peux te toucher qu'en pensée et en rêve. Il me semble que c'est toi que j'attendais pour tout. Maintenant que tu es là, je veux que tu saches que je n'aie jamais connu autant de bonheur...

Je t'aime pour ta compréhension et ton affection. Tu as changé ma vie à jamais et la façon dont j'envisageais l'avenir. Grâce à toi, j'ai maintenant le courage d'exprimer ce que je ressens. Nous avons partagé des pensées qui nous ont rapprochés pour toujours. Notre amour est un don qui durera éternellement. Merci, mon amour, de faire partie de ma vie... et de m'aimer.

L'heure est grave !

http://172035.centerblog.net/
http://www.jecontacte.com/profil/charmeur1000
http://coupleheureux.e-monsite.com/rubrique,poeme-d-amour,1088225.html
http://laetiita.creapoemes.com/poeme/amour/55103/0.html

etc..... !

Ce poème sans bruit, c est un homme qui passe
Une feuille qui meurt, un soleil qui se noie
Dans la brume glacée que les arbres embrassent
Vers l horizon mouillé ou se perdent nos voix.

Ce poème sans âme, c est une vie qui erre
Dans la noirceur des jours aux rives d habitude
Un papillon posé sur la croix d un calvaire
Qui nous rappelle a tous le mal de solitude.

thiam lane moy sa probleme thiam bayi ma thiam thiam thiam boy baax na dou a wax dara

Quand l'aube point, là-bas, où il n'y a point de soleil,
Je m'en vais contempler le monde, sur l'autre versant
Voir le visage d'un dieu mélancolique et errant
Sur les décombres de son peuple et de ses merveilles
Quand l'aube point, là-bas, au bout de l'horizon,
Je m'en vais arpenter les chemins de l'oubli
Que tracèrent les pas gercés des ancêtres conquis
Alors que le ciel était gris des cinquièmes saisons
Quand l'aube point, là-bas, là où nul oeil ne va,
Je m'en vais m'ensevelir loin des tumultes
Dans l'aire que le silence a rempli de ce culte
Ce culte très ancien de la terre qui bat.

Quand l'aube point, là-bas, dedans la case,
Je prends mes besaces et m'en vais la cueillir
Aux pieds des légendes qui veulent se réécrire
J'arme mes larmes pour arroser nos plaines rases.
Quand l'aube point, là-bas, alors que la nuit règne,
Je m'en vais épousseter les fragments de ténèbres
Vois, mère, comme se ressemblent les vasques nègres
Quand les unit la lutte et les masques qui saignent!
Quand l'aube point, là-bas, hors de toute portée,
Et que geint encore l'enfant né la nuit dernière
Nos yeux secs fixent d'amertume l'étoile bergère
Pour y lire les lignes perdues des anciennes épopées.

très beau

Je t'aime

j'aime être a tes coters pour sentir la chaleur de ton corps
j'aime être a tes coters pour te sentir a mes coters parsque sans toi ma vie rime a rien
je veux te le dire par ces trois mots magique
je veux te le dire a un point que je m'en lasse de la solitude
je t'aime tout simplement

nigger attentiong thia mini nieuww déhh
mais dis moi entre nous tu vien d dcouvrir l'(ex)pression Je t'aime ou koi?!! ishhh ze taimeu rek

L'iris
S'émeut
D'Ulysse
Et pleure
L'ibis
Qui meurt
De lys
En feu.
Pâlissent
Nos dieux!
Qui crissent
Honteux.
Qu'Arès
Maudisse
Nos liesses
Factices!
Que cesse
Le faux
Que blessent
Nos maux!
Grand-messes,
Émaux,
Confesses
Et mots
Salissent
De voeux
Nos vices
Lépreux.

Il est des maux que mots n'expriment
Des discours que douleurs répriment
Quand couvert est mis mais que bouche se ferme
Quand toute thérapie fait que le supplicié s'enferme
Des maux qui courbent sans peser
Qui s'assiéent sur lits froids et défaits
Des maux qui marquent chaque pas
Tels ombres certains de quelque trépas
Il est quelquefois homme qui se couche
Sur seins de quelque amante farouche
Que rien ne réchauffe. Ni même vices,
Ni même plume. Ni larmes. Ni calice.
Il se courbe et se recourbe, souffre et se découvre
Aux yeux meurtris d'une innocence qu'aucun ne trouve
Il est des maux aux allures silencieuses
Calfeutrés en vaines messes fallacieuses
Des déchirures qui ne se comblent
Des crevasses qui ne s'assemblent
Un homme et une fille se regardent
Les couteaux aux mains se dardent
Un crime muet vient de se commettre, encore
Sur des draps propres, sous un toit d'os et d'ors.
Il est des silences meurtriers
Que ne dévoile l'heure criée
Il est toujours des voiles qui masquent et s'abattent
Quand, en-dessous, des plaies rougeoient et battent.
Il est des mots que maux légitiment
Des paroles que larmes réclament
Il est alors une grande conspiration
Qui tue de son mutisme toute émotion.

en tout cas Lyncx

missionnaire
Le mensonge fait des grands seigneurs des victimes
Et la vérité fait des humbles des rois
Les premiers sont plongés dans un abyme
Et les seconds goutent aux saveurs de la foi
Qui est la vraie vie
Sans leurre
Sans ennuis
Pour le coeur
Parce que sans tricherie

Une question de choix
Une question de volonté
Si les sentiments se broient
Et qu on passe a côte

A côté des joies, du bonheur
Tout cela n est qu éphémère
Il suffit de faire sonner son heure
Si on ne voit de belles couleurs

Des mots résonnent fort
Des maux m empoisonnent
Des raisons sans tort
Et les douleurs foisonnent

Des jours et nuits semblables
Du matin au soir dans le noir
Vie et maux comme les grains de sable
Soudés et indissociables

Faire mes adieux n est raisonnable
Partir en silence...
Une erreur impardonnable
Mais pourquoi souffrir en permanence?

Vraiment beau blackette rien a dire

thanks Negger

De rien toi même tu sais